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Les graves révélations d'un professeur
Financement des ONG en Algérie
Publié dans L'Expression le 02 - 12 - 2019

Bas les masques ! Il semblerait que l'Algérie n' a finalement pas pu échapper aux griffes des maîtres manipulateurs, qui ont orchestré à coup de formations de cyberactivites, de financement en tous genres, les révolutions des pays de l'Est et les printemps arabes.
L'ingérence des Etats-Unis d'Amérique dans le mouvement de contestation populaire en Algérie, ne représente aucun doute pour le professeur de l'université d'Oran, Ahmed Bensaâda, qui explique lors de son passage, hier, à la Radio nationale sur la Chaîne 3 qu'«il est impossible que l'Algérie ne soit pas visée. Car le principe d'exportation de la démocratie qui est une partie prenante de la politique américaine, ne se fait jamais sans intérêt géopolitique». Insistant sur le fait qu'il n'est pas contre le Hirak et que les revendications populaires reflètent et dénotent de vrais problèmes, L'invité de la radio, explique que «c'est de cette façon, que des organismes tels que le RAJ, la Ligue des droits de l'homme en Algérie, ou encore le Collectif des familles des disparus reçoivent et vous pouvez le vérifier, sur les publications de la NED (National endoyment for democraty), et de Freedom House, des financements en montants importants, pour un groupe d'activistes. Je ne dis pas que tous les manifestants ont été formés dans ce sens, mais il y a des meneurs à qui on a appris, comment organiser des événements poignants, tels que la distribution de fleurs aux forces de l'ordre et la rédaction des slogans». Les affirmations de L'invité de la radio, font l'effet d'une douche froide, lorsqu'on sait que les organisations citées, se présentent comme les porteurs du mouvement de contestation et qu'ils ne jurent que par le dévouement et l'intégrité. Alors qu'en réalité, il ne font que vendre le rêve de liberté et de démocratie de milliers de jeunes Algériens, aux agendas étrangers.
Dans ce sillage, le professeur Bensaâda, estime que le Hirak algérien présente de fortes similitudes avec les révolutions qui ont servi à destituer en un temps record les présidents des pays où le «terreau était fertile», qu'est l'émergence de problèmes graves, tels qu'en Serbie, l'Egypte, et la Tunisie, a permis aux organisations telles que, Optor, Canevas, ou l'Open society du sinistre George Soros, connu pur être le grand commanditaire des printemps arabes, de dérouler leur processus de révolution, en prenant pour socle la contestation populaire. S'il y a des manifestations, c'est qu'il y a des problèmes sérieux de démocratie, d'égalité de chances, de hogra, sauf, qu'il y a aussi de la manipulation ». La méthode est connue, il s'agit de recruter sur le Net, des jeunes cybernautes, pour des formations pour la pratique de la démocratie, alors qu'en réalité ils en font des chargés de missions pour propager le chaos dans leurs pays et permettre aux commanditaires de placer leurs pions.
Dans ce sens, le professeur Bensaâda, précise que «les revendications du Hirak sont justes, et ce Mouvement populaire est bénéfique pour le pays. Mais nous n'avons pas besoin de financement étranger qui va nous pousser à nous entretuer et le peuple algérien n'a pas besoin de revivre l'expérience de la décennie noire. Si nous suivons ce que nous dictent les agendas étrangers, nous irons directement droit dans le mur».
En somme, les pratiques de ces ténors de la manipulation, ont montré l'ampleur des dégâts, qu'ils peuvent engendrer, au nom de la démocratie et sous le fard de soutiens pour les pays qui montrent un semblant d'éveil, synonyme de volonté d'indépendance de l'impérialisme occidental. C'est précisément dans ce cas de figure, que l'Algérie, qui depuis le 22 février se trouve dans un processus de changement démocratique, par la voie constitutionnelle, dérange les desseins machiavéliques ourdis pour l'asservir et la dilapider de ses richesses. D'autant plus qu'on ne lui a jamais pardonné, le fait de rester debout, d'échapper à la vague destructrice des révolutions colorées et des printemps arabes, qui ont pour but de redessiner et de redistribuer les cartes des enjeux géostratégiques.


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