Djamel Belmadi, et ses hommes sont entrés dans la préparation de la coupe d'Afrique 2023/2024, qui doit se tenir en Côte d'Ivoire. Les amateurs de formation de l'équipe-type de l'EN, devraient eux, rentrer dans un silence «réparateur», des dégâts commis involontairement, ou volontairement, ces deux dernières années, par, on n'a jamais su d'où émanaient les décisions de «scier» du Djamel Belmadi. C'est pourquoi, nous n'avions jamais cru au fameux appel à la «cessation des hostilités contre le coach national», histoire de créer un climat serein, pour notre EN, et son staff. Cependant, nous avons la ferme intention que des «snipers» aient été savamment placés, prêts à «descendre» en flammes, Belmadi et sa bande, si jamais ce dernier, échouait en coupe d'Afrique 2023/2024. À Allah ne plaise, accomplissons les cinq prières de la journée pour que pareille mésaventure n'arrivât point. «Cinq et jeudi» dans «l'oeil du jaloux», et gloire, réussite, honneur et prestige à nos jeunes «combattants du désert». La bonne nouvelle est que le président de la FAF, à la tête de la FAF, s'est surtout, engagé à couvrir, protéger, et à «gâter les Verts. C'est important de le relever. Cela fait un problème de moins. Un gros tracas qui a plié bagage, même si certains sinistres individus, espèrent, se frottent les mains, avec un sourire narquois, et attendent un faux pas du vaillant collectif, qui est entré en « réflexion collective» pour aller droit au 1er match contre l'Angola! Nous n'avons jamais joué les titres, en vingt ans Quitte à choquer certains pseudo-spécialistes, nous laissons les trucs comme le climat, l'adaptation au milieu, l'arbitrage, l'humidité, l'hostilité du public, de côté, et faisons confiance aux «guerriers» nommés Riyad - Karim Mahrez, Youcef Belaïli, Aïssa Mandi, Wahab-Raïs M'Bolhi, Anthony Mandrea, Ramy Bensebaïni, Rayan Aït-Nouri, Youcef Attal, Amine Tougaï, Ismaël Bennacer, Ramiz-Larbi Zerrouki, Sofiane Feghouli, Nabil Bentaleb, Adam Ounas, Islam Slimani, Med- Amine Amoura, et autres Hichem Boudaoui, et Zinedine Belaïd, d'exécuter la «mélodie» mise en place par le staff. Evidemment, fidèle à notre ligne de conduite, répétons pour la énième fois que le football n'est qu'un jeu. Un jeu, avec des gagnants et des perdants. Par le passé, nous n'avons jamais brillé en coupe d'Afrique. En 1980, nos avons disputé la finale, perdue, 0-3, face aux féroces Nigérians. En 2024, il y aura X pays engagés, un seul sera sacré champion d'Afrique pour l'édition 2024, comme pour les précédentes. Des bras de fer opposeront les jeunes athlètes africains, qui seront arbitrés par des Africains, devant un public africain, mais mondialement suivis sur l'écran TV. Que d'émotions, verrons-nous à travers le continent noir! Des émotions, c'est sûr, mais aussi, des larmes de joie, ou de désespoir, des cris, des «ah!», des «ouf» de délivrance, lors du coup de sifflet final, «hourrah» aussi, pour les vainqueurs! Entre les matchs, malheur aux vaincus. Entre les parties, malheur à l'arbitre défaillant, ou pris en flagrant délit de triche. Souhaitons très fortement que nos joueurs ne soient pas blessés, et que ceux qui le sont, se rétablissent, et se relèvent au plus vite. Côté algérien, les nouvelles pour le moment ne sont pas «avouables». On se tait, on attend le bon moment pour montrer publiquement nos atouts. Les éternels opposants trouvent là aussi matière à dire et à redire, mais sans préciser toutefois, dans quels buts. Ça parle. Ça parlote, chuchote, s'écrie, proteste, ça tout ça pourquoi? Mystère et boule de gomme! À Sidi Moussa, c'est le calme plat. Il n' y a rien à se mettre sous la dent. Nos voisins et amis sportifs, qui mangent grâce aux problèmes des Verts, touche presque, la «disette»! Mise à mort des privilèges des années folles Alors, les revanchards attendent, juste des débats entre Africains, au prochain tournant, l'arme au poing, Djamel Belmadi, ce maudit et garnement qui a osé ôter les privilèges des années folles de Dély - Ibrahim, et surtout Sidi Moussa, et ce, malgré les résultats flatteurs. Tous les regards se tournent vers Dzaïr. Cette Dzaïr qui fait mal même si elle n'entreprend rien. Ajoutez-y un peu de Djamel Belmadi, et le tour est joué. D'entrée, signalons gravement que ce sont uniquement les ennemis de l'intérieur, qui engraissent ceux de l'extérieur. Ce sont des gens malades d'une Algérie qui gagne. Ils sont contre les joies du peuple algérien. Ils voulaient que Dzaïr connaisse son printemps «arabe», mais manque de port, Dzaïr a eu son printemps «berbère» bien avant, en 1980, par exemple, à Constantine, en 1987, le pays dans sa totalité, en 1988, etc. Donc, pas de leçons, SVP! Surtout pas. En foot, les faussaires de l'histoire voulaient en 2022, à la suite des deux échecs en coupe d'Afrique, et en éliminatoires de la Coupe du monde au Qatar, donner la nette impression qu'avant 2019, l'Algérie avait remporté quatre coupes d'Afrique, et deux Coupes du monde. Alors, qu'il n'en est rien. Nous n'avons connu que des échecs «plats et honteux»! Oui, nous avions de très grands joueurs locaux et nés au-delà de la «Grande bleue». Oui, mais c'était nettement insuffisant. Il fallait bien plus. Il nous fallait un Djamel Belmadi, cet homme pur, honnête, nationaliste et adorant son pays, qui a pris le taureau par les cornes et les sabots, entra en terre pharaonique, disputa crânement ses chances, gagna haut la main, tous les matchs, et atterrit à l'aéroport Houari Boumediene de Dar El Beïda, en glorieux vainqueur de la «Kahloucha», à l'extérieur, SVP. Entre- temps, les profiteurs et parasites qui embuaient l'atmosphère avant 2019, et éliminés définitivement par le staff de Belmadi, reprirent du poil de la bête, se mirent en position de tir, et commencèrent un infernal carrousel pour qu'à leur tour, ils toucheraient ce diable de Djamel Belmadi, cet empêcheur de tourner en rond, en carré et en losange, à Sidi Moussa et à Dely - Ibrahim (Alger). Belmadi est toujours là, malgré... Vainement! On essaya tous les trucs diaboliques, rien n'y fit. De 2018, à 2023, l'entraîneur national est toujours là, le très beau sourire s'affichant en «technicolor», sur son sympathique minois! Depuis une bonne semaine, depuis Sidi Moussa, il concocte une «ordonnance» à remettre à Riyad-Karim Mahrez, son valeureux capitaine d'équipe, qui, lui aussi, se prépare à l'aventure en Côte d'Ivoire, en 2024! » Cependant, des gens «malades», courent derrière la fameuse liste. Pourquoi faire? Pour évoquer encore une fois, l'absence de tel ou tel joueur? Le choix est fixé, et bien réfléchi. Nous connaissons tous les joueurs les plus aptes du moment, qui auront la lourde tâche de tenter le coup du Caire, en 2019. Pour le moment, nous ne voudrions pas être à la place du pauvre Djamel Belmadi, qui est victime de la richesse de son effectif car «Tamourth» a de tout temps été «walada» de pépites, ne doit pas fermer l'oeil les nuits qui précèdent les futures joutes, du seul fait de mettre en place son «Onze» vainqueur, du parcours africain en 2024. Il doit aussi penser aux autres, les adversaires à rencontrer lors des tours préliminaires, et des inévitables 1/8, ¼, ½ classement et finale. Que chacun s'occupe de son champ d'action, et le tour est joué. Les pays africains qualifiés ne sont pas tombés avec les récentes pluies. Bien des trucs peuvent arriver à tous les participants. C'est connu. Alors, attendons calmement avant de vibrer avec les envolées des Fennecs que les lions, éléphants, aigles, pharaons, crocodiles, et autres fauves du continent voudront croquer tous crus! Mais attention, ce n'est pas gagné d'avance, c'est la grande Algérie de novembre 1954 à qui nos adversaires auront affaire!