La multitude de tentatives d'une partie de la classe politique française de faire fléchir l'Algérie ont connu un échec «humiliant». En fait, depuis quelques mois, l'Algérie est la cible d'une campagne féroce de dénigrements de la part de milieux politico-médiatiques, soumis a des oligarques français. Ces tentatives sournoises sont loin d'être innocentes, au regard de leur timing et synchronicité. Elles ont pour but évident de faire fléchir l'Algérie. Ainsi,le ministre français de l'Intérieur, Bruno Retailleau, un anti-algérien notoire, trouve toujours un moyen de se mettre à l'avant-garde de cette guerre. Il en a fait un caprice pour lequel il a pris une sacrée gifle de la part de l'Algérie, dont il se souviendra certainement pendant très longtemps. Burlesque, et contre toutes les règles de bienséance, il s'est arrogé le droit, à plusieurs reprises, de s'exprimer sur la politique étrangère française. Au mépris des règles diplomatiques, il ne s'encombre d'aucun scrupule pour damer le pion à son collègue des Affaires étrangères. Ce fut le cas, à plusieurs reprises vis-à-vis de l'Algérie, allant même jusqu'à contredire le président de la République française, Emmanuel Macron et le ministre de Affaires étrangères, Jean-Noël Barrot, créant gêne et cacophonie au sein de l'Exécutif....À noter que les autorités algériennes sont restées inébranlables durant cette croisade, menée par Retailleau. Ce même ministre de l'Intérieur, a même osé la menace envers l'Algérie. Guidé par sa haine sans limite et un esprit malintentionnée, Retailleau a mené la France a une défaite humiliante face à une Algérie solide et droite dans ses bottes.Echec dont elle pouvait s'en passer si ce n'est les ambitions démesurées de son ministre de l'Intérieur. Ce dernier s'est lancé, depuis janvier dernier, à une véritable campagne haineuse contre l'Algérie. Il revendique coûte que coûte un «bras de fer contre l'Algérie», se croyant détenteur de «leviers» à même de fléchir la position algérienne. Menaces de dénonciation de l'accord de 1968, restriction sur les visas, durcissement d'entrée pour les dignitaires algériens, menaces de sanctions contre la Compagnie nationale Air-Algérie, campagnes haineuses et à la limite racistes contre la communauté algérienne en France et autres subterfuges sont le lot quotidien de sa rhétorique sur les plateaux de chaînes télé. Les élucubrations de Retailleau n'ont eu aucun effet sur la position algérienne qui reste inflexible. Toutes les cartes brandies par la bande à Retailleau se sont révélées être des pétards mouillés. Cette guerre n'a servi, finalement, qu'à mettre à nu son amateurisme et montrer au grand jour ses motivations malsaines. Cette défaite, pas facile a ingurgiter, a provoqué une grande désillusion dans le camp de la fachosphère! Car, si certaines de ces menaces formulées pouvaient être efficaces à une certaine époque, ce n'est plus le cas dans la Nouvelle Algérie qui impose, désormais, de nouvelles règles dans ses rapports diplomatiques. Face à cet échec cuisant, et faute d'autres arguments solides, «la meute» est descendue dans le bas du caniveau pour trouver matière a endosser à l'Algérie. C'est ainsi que certains médias «alimentés» par des sources du «très douteux» ministère de l'Intérieur font étalage, dans leurs journaux télévisés, d'une superflue affaire de «soupçons d'espionnage au profit de l'Algérie». Une affaire qui semble «fantaisiste» mais qui, bizarrement, intéresse les médias publics français. D'habitude épargnés par l'emprise de l'extrême droite et de ses manoeuvres politiciennes, les médias publics français se trouvent entraînés, eux-aussi, dans cette guerre. C'est le cas de France 2 qui reprend d'obscures «influenceurs» et «journalistes» algériens, en mal d'audience et de «Like» sur les réseaux sociaux, s'inventent des balivernes sur le dos de l'Algérie pour attirer l'attention sur eux. L'autre cas qui accable cses médias est la déprogrammation d'un documentaire abordant l'utilisation des armes chimiques par la France durant la Guerre d'Algérie, avant d'être reprogrammé après la polémique suscitée par cet acte de «censure avortée». Mais au milieu de cette tourmente, beaucoup de voix se sont élevées pour dénoncer les meneurs de cette bataille, dont les motivations politiques et politiciennes n'échappent à personne. C'est le cas de beaucoup de personnalités politiques françaises de grande envergure, telles Dominique De Villepin, et des dizaines d'autres encore intellectuels de différents bords. Ces derniers sont excédés par la tournure que prennent les événements, et l'inconscience de lrurs initiateurs quand à leurs conséquences.