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Le 11 septembre des damnés de la terre
Publié dans L'Expression le 11 - 09 - 2007

"Quant au pardon, c´est quelque chose de tellement intime, de personne à personne, de coeur à coeur dans un espace de temps très court. Nous avons plutôt à donner le pardon qu´à le demander". "Et vouloir vivre ensemble implique la mise en oeuvre de tous les moyens équitables et possibles de construction sociale". Paul Ricoeur (philosophe)
Depuis quelque temps des voix s´élèvent sur la réalité du 11 septembre. Ce que l´on appelle les «conspirationnistes» posent le problème des énigmes de l´effondrement des tours. Deux théories s´opposent aujourd´hui, la première faisant l´hypothèse d´un effondrement «naturel» dû au seul impact de l´avion, la seconde faisant l´hypothèse d´un effondrement «assisté». La toute première remarque que nous pourrions faire est que si l´effondrement a été provoqué par un emploi supplémentaire d´explosif, l´apparence générale de l´effondrement reste celle d´un effondrement naturel (rupture des édifices au niveau du point d´impact des avions). La durée de chute des tours est reconnue dans le rapport de la Commission officielle sur le 11 septembre, comme l´auteur de l´article le précise: «moins de dix secondes (page 322 du rapport)». Elle a pu être déterminée grâce aux enregistrements sismiques du Earth Observatory de l´Université de Columbia, situé à une trentaine de kilomètres au nord.
La «thèse de la conspiration» concernant le 11 septembre souffre de nombreux défauts. Le plus patent est sans doute qu´elle n´est basée, soi-disant, sur aucune preuve directe. Elle rassemble de nombreux «indices», témoignages de survivants ou témoignages d´experts auxquels on aura vite fait d´opposer les témoins et experts qui valident la théorie officielle, si bien que, très vite, il sera impossible de distinguer le mensonge de la vérité. Il est impossible physiquement que les tours se soient effondrées à la vitesse de la chute libre puisque, même en considérant que les étages n´ont offert aucune résistance physique, la chute aurait été forcément ralentie à chaque étage par le simple fait de l´accroissement de la masse des débris. Le rapport officiel évoque la durée de la chute, mais ne semble y voir aucune anomalie. De plus, les 2 bâtiments attenant au WTC sont intacts. Les bâtiments 4,5 et 6, situés, eux, directement sous les tours, bien qu´éventrés ou pratiquement détruits, ne se sont pas effondrés. Pourquoi? Tous les bâtiments du WTC étaient des immeubles à structure métallique: aucune chance qu´une structure métallique disparaisse intégralement sans qu´elle soit sapée à sa base. Enfin, le bâtiment 7 est une énigme, il n´a pas été touché, et pourtant, il s´est effondré, lui aussi, bien qu´il soit plus loin des tours.(1)
Comment se présente le monde actuellement?
Se pose alors, l´interrogation sur les autres hypothèses que celle des 19 terroristes qui ont détourné trois avions. Pour rappel, en septembre 2000, avant l´élection de Bush et presque un an, jour pour jour, avant les attentats contre le World Trade Center, le Project for the New American Century (Pnac) rendait public son manifeste intitulé: La Reconstruction de la défense américaine. En quelques mots, selon ses critiques, il s´agissait de rien de moins que de la feuille de route pour la conquête du monde. Le groupe prône une augmentation de 48 milliards du budget de la Défense afin de «préserver le leadership géopolitique américain» et d´empêcher tout autre pays de le défier. Et afin de faciliter les choses, y lit-on, il faudrait un événement catastrophique, du genre Pearl Harbor, susceptible de galvaniser l´opinion publique et de fournir le prétexte à Washington pour imposer sa domination.
Lors de l´enquête, la déposition étonnante de Christopher Cox, président du comité politique républicain à la Chambre des représentants, ne fut pas retenue. Le 11 septembre 2001, témoigne t-il à 9 h du matin, il se trouvait dans la salle à manger privée de Donald Rumsfeld, au Pentagone. Défendant la nécessité impérieuse d´une doctrine de surarmement et d´agression préventive que, depuis, on a vu à l´oeuvre, le secrétaire à la Défense évoque de précédentes menaces terroristes, puis ajoute: «Laissez-moi vous dire. J´ai fait le tour de la question à plusieurs reprises. Il y aura un autre événement.» Il a répété cela avec insistance, affirme Christopher Cox, qui conclut: «Quelques minutes après qu´il se fut exprimé, les mots de Rumsfeld se révélaient tragiquement prophétiques.»(2).
Qu´elle est la situation actuellement, six ans après 2001? D´abord, en Irak: 1 million de morts, deux millions de réfugiés, une société en miettes: voilà la démocratie aéroportée. Même scénario en Afghanistan et dans d´autres pays arabes. La politique de remodelage du Moyen-Orient sur le style Sykes-Picot a montré ses limites. Le président du Centre de recherche politique du Liban a déclaré que les Etats-Unis avaient attaqué et occupé l´Afghanistan et l´Irak sous prétexte des événements du 11 septembre pour mettre en application le plan du Grand Moyen-Orient, mais ce plan a échoué. Au Liban et en Palestine, les politiques erronées de la Maison-Blanche dans la région avaient infligé de grands dégâts et des pertes aux pays de la région.
Le XXe siècle s´est, comme on le sait, clôturé sur de grandes interrogations. Les multiples tensions çà et là ont profondément marqué les individus qu´ils soient du Nord ou du Sud, croyants ou non. Le monde est devenu dangereusement unipolaire. Le monde est devenu plus incertain que jamais et à juste titre, la mondialisation et le néolibéralisme peuvent être tenus pour responsables de cette débâcle planétaire. Partout dans le monde, on constate une fragilité du présent et une incertitude du lendemain. Le monde vit au rythme de la terreur et non pas à celui de l´apaisement. Tous ceux qui s´intéressent à l´histoire l´ont noté: l´un des traits majeurs des sociétés contemporaines, notamment en Occident, réside dans le fait qu´elles s´organisent sans cesse davantage autour d´une passion commune et, en ce sens, fort démocratique: la peur. Saisis par les idéologies sécuritaires de tous ordres, c´est la nature qui nous semble aujourd´hui admirable et la science menaçante ou maléfique. Face aux catastrophes naturelles, nous passons ainsi notre temps à chercher ailleurs des responsables, avec une frénésie d´autant plus grande que tout ce qui peut mettre en danger nos existences nous terrorise. L´angoisse d´une mort qu´on feint de croire évitable se décline ainsi en une infinité de «petites peurs» particulières: de l´alcool, du tabac, de la vitesse, de l´atome, du téléphone portable, des OGM, de l´effet de serre, du clonage, des nouvelles technologies et le terrorisme!
Nous y voilà! Le seul sujet qui fait consensus, voire unanimité, est le «péril vert». Cette peur entretenue savamment est en train de structurer insidieusement et inexorablement l´imaginaire des Européens, notamment par une presse main-stream aux ordres qui surfe sur les angoisses des sociétés européennes à tel point que les musulmans sont synonymes d´intolérance et de violence. Pire encore aux Etats-Unis, les Wasp (Américains Blancs évangélistes) n´arrêtent pas de prêcher la bonne nouvelle d´une prochaine parousie précédée par l´extermination des mécréants lors de cette fameuse bataille finale d´Armagueddon. Ainsi, Paul Craig Roberts qui fut Secrétaire adjoint au Trésor dans l´administration Reagan écrit à propos de la diabolisation de l´Islam aux Etats-Unis «Le président Jimmy Carter était diabolisé pour avoir signalé dans son livre, Palestine: La Paix pas l´Apartheid, qu´il y a, en fait, deux faces à la question israélo-palestinienne. Le 1er septembre, Haaretz signalait que le rabbin Eric Yoffie, président de l´Union pour la Réforme du judaïsme, qui représente 900 congrégations et 1,5 million de juifs, ´´accusait les médias américains, les politiciens et les groupes religieux de diaboliser l´Islam´´ et transformaient les Musulmans en images sataniques.» (Le leader juif conseille vivement aux Musulmans US de condamner la violence, (Reuters, 1er septembre 2007). Les livres qui présentent l´Islam sous le faux jour de la plus grande menace possible pour la civilisation occidentale abondent, cherchant à instiller la peur et la haine des Musulmans chez les états-uniens. Par exemple, Norman Podhoretz proclame la Guerre Mondiale IV: La longue lutte contre l´islamofascisme. Daniel Pipes hurle que «Ll´Islam militant atteint l´Amérique.» Lee Harris avertit du Suicide de la raison: La menace de l´Islam radical pour l´Occident. Des groupes de réflexion (think thanks) financent des programmes au Moyen-Orient dont le but est de propager l´islamophobie. Peur et exécration sortent à flots du Middle East Forum et de l´American Enterprise Institute. La plupart des Américains, que Harris pense être si raisonnables, tolérants, et délibérants qu´ils ne peuvent se défendre eux-mêmes, ne pourraient pas s´inquiéter moins qu´un million d´Irakiens ayant perdu la vie pendant l´occupation US et que quatre millions d´Irakiens environ déplacés. Le total des morts et des déplacés atteint 20% de la population irakienne.(3)
Derrière les peurs particulières se cache une inquiétude plus profonde et plus générale qui englobe pour ainsi dire toutes les autres: celle que l´impuissance publique, désormais avérée, mette les citoyens des sociétés modernes dans une situation d´absence totale de contrôle sur le cours du monde. C´est d´abord ce pressentiment que l´Etat est faible, qu´il est en tout domaine pratiquement incapable de mener à leur terme les réformes mêmes les plus justifiées. Qu´il laisse faire et qu´il donne l´impression d´être absent devant les dérives au quotidien de ceux qui se sentent au-dessus des lois
Les causes de la malvie
Ce qui relie les jeunes en profondeur et fait leur force véritable, c´est le sentiment plus ou moins diffus que le cours du monde échappe aux simples citoyens, Dans cet univers, tout ou presque, échappe aux «petits»: ils ont le sentiment que plus rien ne dépend, non seulement d´eux-mêmes, mais, ce qui est en un sens beaucoup plus grave encore, de leurs leaders politiques impuissants face à des processus qu´aucune volonté ne parvient à domestiquer. L´Occident, dans sa faillite, entraînerait dans sa chute les peuples du tiers-monde. Seuls l´en-deçà ou l´au-delà de ce monde seraient acceptables. Ce qui explique d´une certaine façon les deux réactions possibles des jeunes. Dans les pays développés, les structures syndicales, la société civile, les espaces de liberté, notamment de manifester, existent; le trop-plein est canalisé, la protestation a un caractère apaisé. La deuxième variante celle qui a cours dans les pays du Sud, c´est celle de l´éruption incontrolable, voire nihiliste comme nous le voyons avec les kamikazes, c´est celle de la promesse d´un monde meilleur dans l´au-delà.
Faut-il renoncer pour autant à dénoncer le monde tel qu´il va, faut-il abandonner tout projet de le transformer? Pour beaucoup, cependant, le sentiment s´insinue peu à peu que l´existence n´offre plus de deuxième chance. C´est le mur. Pas de possibilité de bifurquer, de recommencer, d´explorer d´autres horizons, mais au contraire une logique en entonnoir où la vie semble un long canal dont il est impossible de sortir dès lors qu´on y est entré.
A toutes ces peurs induites, notamment aussi, par la mondialisation qui dépossède l´Etat, s´ajoutent dans les pays fragiles, la mauvaise gouvernance à toutes les échelles, et les tares traditionnelles des pays du Sud, corruption népotisme, manque de démocratie, refus de l´alternance, inexistence de la justice. De plus, les événements du monde, notamment la boîte de Pandore générée par le 11 septembre, ne cessent d´avoir des retombées directes ou indirectes sur le quotidien des citoyens des musulmans.
Pour que l´Algérie ne subisse pas le syndrome irakien, il faut une nouvelle stratégie qui combine des solutions politiques et sécuritaires. Le bon remède, c´est la porte fermée à l´islamisme politique sous toutes ses facettes et c´est la modernisation à outrance de la société algérienne pour la débarrasser du fondamentalisme religieux. C´est redonner, par l´emploi et l´éducation, l´espoir aux jeunes afin de leur faire aimer la vie et les éloigner des recruteurs pour le faux paradis.(4)
Je ferais remarquer simplement que la première armée du monde est engluée en Irak pour avoir appliqué la méthode des éradicateurs. Si on peut être d´accord sur l´analyse, on ne peut l´être sur le remède. La situation est extrêmement complexe, des solutions à la «il y a qu´à...» ne mènent pas loin. Notre sentiment est que nous en sommes là parce que nous ne voulons pas discuter du modèle-si tant est qu´on puisse parler de modèle- de société que l´on veut mettre en place. Sommes-nous des Occidentaux, des Orientaux, des Arabes? que fait-on de nos racines amazighes. Est-ce que la laîcité est possible en terre musulmane? Quels sont nos invariants? Comment concilier absolument la modernité avec la religion. L´histoire nous a appris qu´il faut se méfier des solutions à l´emporte-pièce. A-t-on tout fait en ce qui concerne la concorde civile et la réconciliation nationale? De notre point de vue, se réconcilier n´est pas synonyme d´oubli de ce qui s´est passé. Pourquoi des stratégies de réconciliation nationale ont-elles réussi sous d´autres cieux? Je veux citer l´Afrique du Sud de Mandela, où l´on a vu d´anciens tortionnaires demander pardon. Je veux citer aussi les écoles et les universités créées à cet effet, pour apprendre aux jeunes, dès leur jeune âge, la nécessité de souder le peuple pour donner aux citoyens ce désir de vivre ensemble pour constituer une nation. Nous sommes tous interpellés et la solution ne peut pas être importée. Elle doit émaner de nous-mêmes. A notre façon, nous avons, à notre corps défendant, le 11 septembre, non plus en tant que souvenir mais en tant que réalité quotidienne. On dit que les Américains riverains du WTC sont malades de la poussière, ils se plaignent de maladies conséquentes du traumatisme du 9/11. Que doivent dire alors, les Irakiens, les Afghans, les Algériens bref, tous ceux qui souffrent, qui meurent, qui sont traumatisés? Le 11 septembre a été, à coup sûr, un traumatisme pour le peuple américain qui découvre que son territoire n´est plus sanctuarisé. Les 11 septembre au quotidien pour les damnés de la terre sont autrement plus néfastes et mortels. Ces pays du Sud, notamment les pays musulmans, à la fois victimes des conséquences du 11 septembre sur le dérèglement du monde, de la mondialisation qui, chaque jour, lamine des cohortes d´individus et naturellement de l´incurie des dirigeants qui ont une large part dans les drames de leur peuple.
1.Bobbygre: Newton et le 11 septembre. Agoravox vendredi 7 septembre 2007
2.L´administration Bush et le 11 Septembre: les implications des révélations de Richard Clarke Intelligence On-line.
3.Paul Craig Roberts. http://www.vdare.com/roberts/070905_fanatics.htm
4.Ali Bahmane: El Watan, 9 septembre 2007


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