Par le passé, la région Est de Mostaganem était soumise à des contraintes et à de sérieux problèmes dus à l'alimentation en eau potable, où les habitants d'une dizaine de communes étaient exposés à une pénurie aiguë, mais fort heureusement, la situation s'est en quelque sorte améliorée, par l'apport du barrage Gargar. Par ailleurs, il n'en demeure pas moins, qu'aujourd'hui et pour la deuxième année consécutive, que la plupart des citoyens de la ville de Mostaganem sont exposés aux vicissitudes quotidiennement, il ne savent pas à quel saint se vouer? N'est-il pas aberrant, voire catastrophique, de relever, que certains quartiers de la ville, sont privés de cette denrée vitale, plus de dix jours, alors que normalement la distribution se fait un jour sur deux. Où se situent les défaillances? A quoi est due cette ambiguïté? Pourquoi les services de l'Egemo ne se penchent pas sérieusement sur ce problème, dans la mesure où le système d'un jour sur trois n'est profitable que pour certains? Face à cette situation caractérisée par une constante pénurie et que les services de l'Egemo, ne semblent guère fournir le moindre effort pour l'amélioration d'une gestion appropriée et d'une distribution équitable, un véritable SOS est lancé par les citoyens aux responsables concernés pour pallier cette situation qui perdure, à moins de doter les quartiers, agglomérations et les cités de la ville de bornes fontaines. La question pertinente qui se pose reste la raison pour laquelle, dans la même cité, il y a ceux qui sont dotés de ce précieux liquide tandis que d'autres sont pénalisés pendant des jours et des jours. C'est au service de l'Egemo qu'incombe cette responsabilité et situer la faille.