Mila Deux suicides en moins de 24 heures Un jeune homme de 26 ans, A.R., a été retrouvé pendu vendredi soir à Rouached, au nord-ouest de Mila. Il s'est donné la mort en se pendant avec une corde à un arbre, à l'intérieur de la petite forêt d'Amoula, distante d'environ un kilomètre de la commune montagneuse de Rouached. La découverte macabre a été faite par un apiculteur de la région qui a donné l'alerte. La dépouille mortelle a été déposée par la Protection civile de Rajas à la morgue de l'hôpital de Ferdjioua. Aucune cause de ce suicide n'est officiellement avancée. Toutefois des riverains affirment que l'infortuné était un consommateur invétéré de drogue et de psychotropes. La veille, soit jeudi dernier, c'est une mère de 5 enfants qui a mis fin à ses jours à Minar Zaraza, à l'ouest de Ferdjioua. La victime (M.Z., 54 ans) s'est pendue pour des raisons encore inconnues au sein de son domicile familial. Son corps a été déposé à l'hôpital de Ferdjioua. Deux enquêtes ont été ouvertes par les services de gendarmerie en vue d'élucider les causes et les circonstances des deux suicides. K. Bouabdellah BORDJ BOU-ARRERIDJ Commémoration du 45e anniversaire de la mort du cheikh El-Bachir El-Ibrahimi La wilaya de Bordj Bou-Arréridj a abrité, jeudi dernier, les festivités commémorant le 45e anniversaire de la mort du cheikh El Bachir El Ibrahimi. À cette occasion, une conférence-débat sur le parcours de cheikh El Bachir El Ibrahimi a été organisée devant les étudiants et de nombreux invités. Cette commémoration a été précédée d'une cérémonie de recueillement sur la tombe du cheikh, dans le village d'Ouled Braham, à 30 kilomètres du chef-lieu de la wilaya de Bordj Bou-Arréridj. Cheikh El Bachir El Ibrahimi naquit le 19 juillet 1889 à Ouled Braham (Ras El Oued) et mourut le 20 mai 1965. Chabane BOUARISSA annaba 110 milliards pour la rénovation du réseau AEP Pour procéder à la rénovation et la mise à niveau des réseaux secondaires d'alimentation en eau potable à travers la wilaya d'Annaba, la Seata a dégagé une enveloppe financière de 110 milliards de centimes. Les quartiers visés par cette opération de grande envergure, sont notamment Oued Deheb, les Tours Belvédère, la cité Kouba, les Pins, le Panorama… Il faut noter que ces quartiers ont longtemps attendu ces opérations de réhabilitation, et on enregistre sur ces sites de nombreuses fuites à l'origine de pertes considérables en eau potable à longueur d'année, étant donné la vétusté des canalisations qui n'ont pratiquement jamais connu de réfection. Pour la Seata, l'amélioration du cadre de vie des habitants et la récupération de milliers de mètres cubes d'eau qui se perdent chaque année sont les objectifs de cette opération. Des pertes qui datent de la période précédant la prise en charge du secteur par cette société, qui va durer jusqu'en 2014. Hafiza M. sonelgaz Khenchela La direction de la distribution dévoile ses contraintes En marge de la conférence de presse qui a été tenue par le directeur de la distribution d'électricité et du gaz de la wilaya pour divulguer son bilan d'exercices 2009, l'entreprise s'est montrée très embarrassée par les trois phénomènes qui obèrent la trésorerie de la direction dont l'agression des ouvrages ou l'atteinte au patrimoine que les services concernés ont enregistrée l'année dernière avec 60 cas et une perte de 650 millions de centimes. Ces agressions selon le premier responsable de l'administration sont dues aux travaux anarchiques entamés par les entreprises des travaux publics ou des tiers sans se soucier si un réseau quelconque est présent sous les lieux de creusage alors que la loi en vigueur impose la consultation des plans des réseaux de la ville. Le deuxième fait à noter est le vol de cable électrique, qui a causé un préjudice de près de 6 milliards de centimes représentant le montant des 13 km en cuivre et des accessoires du réseau volé. Quant à la troisième raison, la plus nuisible à l'entreprise c'est la fraude avec 1 398 cas constatés. B Ibrahim COLLO Du kif pour les malades de l'hôpital La fumée de l'opération d'incinération de la quantité de 50 kg de kif traité repêchée de la mer, mercredi en présence des autorités civiles, judiciaires et militaires a gagné les différents services de l'hôpital de Collo, causant des réactions allergiques au personnel et malades de l'hôpital. Le problème survient à chaque incinération de déchets médicamenteux, ce genre de réaction survient et à long terme cette fumée devient cancérigène, nous indiquera un médecin de l'hôpital. Espérant que les gens qui ont sniffé cette fumée à base de kif ne se donnent pas des idées. Par ailleurs, les incinérateurs dans les pays respectueux des recommandations de spécialistes sont installés hors des enceintes hospitalières. Or un deuxième incinérateur, en voie de réalisation a été localisé toujours à l'intérieur de l'hôpital. A. Boukarine
