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Les premières averses paralysent Alger !
Egouts et regards obstrués, avaloirs non récurés, nids-de-poule inondés…
Publié dans Liberté le 11 - 10 - 2010

C'est l'éternelle rengaine. Dès que les premières pluies “s'acharnent” sur la capitale, un nouveau type de circulation routière “climatique” s'installe des heures durant. Le déplacement via le réseau routier devient infernal.
Après un week-end particulièrement caniculaire en pleine saison d'automne, la capitale s'est réveillée ce premier jour de la semaine sur un autre “décor” météorologique. D'importantes chutes de pluie se sont abattues sur plusieurs régions du territoire national.
C'est vers 3 heures du matin que les premières averses bercées par des rafales de vent ont commencé. Une heure après, c'était un véritable déluge pendant presqu'un quart d'heure puis des pluies intermittentes qui annonçaient que le soleil ne sera point au rendez-vous et que l'automne tente de se placer par une démonstration de force. Les premières heures de la matinée ont été également marquées par de fortes pluies. Tant mieux diront beaucoup à propos de ce changement climatique qui épargne des grosses chaleurs qui n'ont que trop duré. Mais il fallait se préparer à faire face aux conséquences de ce bouleversement climatique. Surtout quand on s'y attend le moins. En effet, les premières pluies ont toujours été annonciatrices d'innombrables désagréments quand elles ne sont pas suivies de drames. Les images et autres plaies héritées des inondations du mois de novembre sont toujours vivaces. Faut-il rappeler que depuis cette catastrophe, les fortes averses, nocturnes notamment, sont devenues synonymes d'une grande hantise ? On craint le pire à la moindre petite pluie et on revit le drame des inondations qui ont endeuillé plusieurs familles. Beaucoup de pluie a coulé sous les ponts depuis, mais il demeure toujours un autre important point commun au retour des premières pluies : les désagréables conséquences ! La première et indétrônable conséquence est la perturbation et le ralentissement de la circulation routière. Déjà en temps normal, les embouteillages sont le quotidien de tous les automobilistes surtout aux heures de pointe, et quand la pluie vient ajouter du sien, le décor est chaotique. Il faut s'armer de patience et prendre la route minimum deux heures avant l'horaire habituel pour espérer échapper au calvaire de la circulation “climatique” qui n'en finit pas et que tout conducteur redoute. Depuis des années déjà, il suffit qu'un petit orage éclate pour que tout Alger soit paralysée. Et ce fut le cas hier à travers plusieurs quartiers de la capitale. Il nous a fallu pas moins de deux longues heures pour faire les quelques kilomètres séparant Hussein-Dey du centre-ville. Dès les premières heures de la matinée, plusieurs tronçons de route et autres ruelles se sont transformés en une véritable rivière. Les regards et les avaloirs étant obstrués, les eaux stagnent et forment de longues flaques que le plus averti des conducteurs doit “écraser” en faisant très attention. Le décor est plus chaotique au niveau des quartiers et rues où des travaux sont en cours. C'est le cas du Caroubier et de la rue de Tripoli en passant par Belcourt et la place du 1er-Mai jusqu'au square Port-Saïd. Ce sont les mêmes images à travers toute la capitale. Des images désolantes qui n'ont pas manqué de soulever le courroux de nombreux automobilistes dont certains ont déversé toute leur colère contre les agents qui s'affairaient à déboucher les regards. “Il fallait faire ça avant, pas maintenant”, lance un conducteur qui visiblement conduisait ses enfants à l'école à l'adresse des agents qui ne branchaient point. Le calvaire aura quand même duré quelques heures et a été marqué par d'innombrables retards. La journée d'hier a replongé la capitale dans ce que sera la prochaine saison.


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