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Le sens de la continuité
Saïd Chekri
Publié dans
Liberté
le 28 - 04 - 2004
La gouvernance dans ce pays ne connaîtra pas de sitôt les évolutions et les améliorations que tant de blocages, tant de désordres, tant de révoltes, tant de contestations et tant d’émeutes requièrent pourtant en toute urgence.
Le gouvernement d’après le 8 avril est donc connu : il est, tel qu’on pouvait facilement prévoir, celui de la continuité. On pouvait facilement le prévoir, en effet, car dans tous ses meetings électoraux, trois semaines durant, Abdelaziz Bouteflika, alors président-candidat, s’était fait le devoir de poser l’équation et elle était d’une déconcertante simplicité : le changement ou la continuité.
Ceux qui l’ont “réélu� ont donc choisi en leur âme et conscience. L’ont-ils fait en connaissance de cause ? À voir le retour remarquable du “qui tue qui ?� et celui — carrément tonitruant — de Ali Benhadj dans les colonnes de journaux qui s’étaient distingués par leur option résolue en faveur du maintien de M. Bouteflika au palais d’El-Mouradia, on peut sérieusement en douter. Ceux que d’aucuns ont, depuis des années, affublé du titre de “grands électeurs� sans avoir jamais été élus, et qui ont cru devoir récidiver le 8 avril, ont-ils fait cette erreur d’appréciation qui consiste à croire que la “continuité� voulue par Abdelaziz Bouteflika n’allait impliquer qu’un statu quo préjudiciable aux seules forces du changement ? Un statu quo qui leur garantirait, quant à eux, pérennité et sérénité ? Au train où vont les choses, ils semblent en tout cas voués à déchanter. Et le pays avec eux, forcément.
En attendant, une certitude déjà : la gouvernance dans ce pays ne connaîtra pas de sitôt les évolutions et les améliorations que tant de blocages, tant de désordres, tant de révoltes, tant de contestations et tant d’émeutes requièrent pourtant en toute urgence. MM. Bouteflika et Ouyahia en ont décidé autrement. Comme si un pays qui, comme le nôtre, a signé en 2002 un accord d’association avec l’Union européenne, est en négociation avancée avec l’Organisation mondiale du commerce et nourrit l’ambition de coopérer avantageusement avec l’Alliance atlantique, pouvait se permettre de traîner encore une crise comme celle qui sévit en Kabylie depuis 2001, maintenir un état d’urgence décrié de partout, y compris par ceux qui l’ont défendu en 1992, ou encore écraser toute opposition politique et l’interdire d’accès aux médias lourds ! Nous ne sommes déjà plus en 1999, quoique l’Algérie était déjà dans des dispositions politiques et sécuritaires qui pouvaient, n’étaient les options “stratégiques� qui lui étaient alors imposées, l’autoriser à de bien plus grandes réalisations que celles comptabilisées, à tort ou à raison, ces cinq dernières années et même plus intéressantes que celles que l’on promet, aujourd’hui, avec le prix du baril que l’on sait.
S’entêter, en 2004, à réussir des challenges ratés il y a cinq ans, avec des appuis politiques en moins, des crises sociales en plus et un statu quo dans la composante du gouvernement formé de ministres de la République qui, déjà , rêvent… à une victoire aux prochaines législatives, au lieu de s’atteler à trouver des solutions aux problèmes de l’eau, du pain, du logement, de l’emploi, du désinvestissement…, voilà le pari incertain de MM. Bouteflika et Ouyahia, voilà un surcoût certain dont devra s’acquitter la nation.
S. C.
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