Depuis le début de saison, la JSK a connu des hauts et des bas, et il a fallu nommer Chérif Mellal à la tête du club pour que les résultats reviennent. Alors que la JSK était parmi les trois relégables, et grâce aux efforts fournis et aux moyens mis à la disposition de l'équipe, les joueurs ont réussi à redresser la situation et les Jaune et Vert n'auront pratiquement besoin que de deux victoires pour se maintenir parmi l'élite. Certes, ce n'est jamais facile de gagner une rencontre, notamment face à des adversaires redoutables à l'image de l'OM et de l'USMA mais la JSK n'a pas vraiment ni le choix ni le droit à l'erreur. Tout le monde est conscient et déterminé pour terminer la saison en beauté. Il est vrai qu'on ne pourra pas vendre la peau de l'ours avant de l'avoir tué mais le premier responsable de l'équipe, l'homme d'affaires chérif Mellal que nous avons contacté, était très confiant quant au maintien. Il a clairement déclaré que la place de la JSK était et restera en Ligue 1 : "Tout d'abord je crois que nous avons réalisé un parcours très honorable, notamment depuis l'arrivée de Bouzidi, qui a apporté la rage de vaincre aux joueurs. L'équipe s'est qualifiée en finale de la Coupe d'Algérie et nous allons mettre les moyens nécessaires pour remporter le trophée. Nous avons une revanche à prendre sur l'USMBA, il n'est pas question de se louper encore une fois. La sixième couronne nous tient à cœur." Avant de poursuivre : "Nous allons mettre en place une préparation d'une semaine après le match de l'OM afin de préparer convenablement la finale. Il se pourrait qu'on réserve dans un hôtel près de la capitale où tous les moyens seront mises à la disposition du groupe. Sur le plan financier, j'avais promis 100 millions en guise de qualification, je tiendrai ma promesse. Ils encaisseront les chèques dans les prochains jours." Par ailleurs, Mellal a évoqué les rumeurs qui circulent concernant la possibilité de voir la JSK écoper d'un match à huis clos par rapport à tout ce qui s'est passé à Constantine. Il ajoute : "Il est hors de question qu'on nous inflige un huis clos. Nos supporters n'avaient rien à avoir avec tout ce qui s'est passé avant, pendant et après la rencontre. Alors, je n'accepterai jamais qu'on paie pour quelque chose qu'on n'a pas faite. Nous n'avons qu'un seul avertissement, donc on ne devrait rien craindre." M. M.
