Mouvement partiel dans le corps des directeurs de la Protection civile    Concours Gourmand World Cookbook Awards: le livre "Le couscous, racines et couleurs d'Algérie" en finale    Les performances de la troupe "Arokass" de Djanet, parmi les principales attractions de l'Exposition universelle d'Osaka    CNRC : le nouvel organigramme et la numérisation au centre d'une réunion au ministère du Commerce intérieur    Fédération algérienne des sports aquatiques : ouverture des candidatures pour les postes techniques    Veiller au développement du tourisme local et au renforcement des capacités d'accueil pour réduire les tarifs des hôtels    Mme Hamlaoui reçoit le DG de l'Office national de lutte contre la drogue et la toxicomanie    Pétrole et gaz : rebond des prix, portés par des facteurs géopolitiques, économiques et climatiques    Pétrochimie : réception de plusieurs projets d'un montant de 7 milliards de dollars durant le quinquennat 2025-2029    Nâama: inhumation du Moudjahid Daifallah Mohamed    Festival Cirta des sports équestres du 14 au 28 juin à Constantine    Wilaya d'Alger: la saison estivale 2025 et la célébration du 63e anniversaire de l'indépendance au centre d'une réunion du Conseil exécutif    Ghaza : 500 personnalités roumaines signent une lettre exigeant l'arrêt du génocide sioniste    Retour du premier contingent de hadjis des wilayas du Sud-est    Voile/Equipe nationale (Laser) : huit athlètes en stage de préparation à Alger Plage    La présidente de la Fédération européenne des journalistes appelle la Commission européenne à prendre des mesures urgentes pour protéger les journalistes à Ghaza    L'UNRWA qualifie d'"humiliant" le modèle de distribution de l'aide humanitaire à Ghaza    Les dockers du port de Marseille refusent de les embarquer !    L'AFC veut investir en Algérie    La victoire était à la portée des Fennecs !    Comment la diplomatie peut-elle être une solution à l'immigration clandestine ?    La Protection civile lance un appel urgent à la vigilance    Faire du baccalauréat 2025 un succès    Cherki entre dans une nouvelle dimension à Manchester City    «Ce que nous voyons à Ghaza est tellement douloureux, ça me fait mal dans tout le corps»    Mascara rend un hommage vibrant au martyr Ali Maâchi    L'expérience du Ksar de Tafilelt mise en lumière à l'Expo-2025 au Japon    Une nouvelle ère de rigueur pour l'investissement    L'Autorité nationale indépendante de régulation de l'audiovisuel met en garde    Les conséquences pour le monde    29 millions de personnes vivent l'instabilité    L'Algérie est en mesure de relever toute sorte de défis !    Témoin des atrocités coloniales dans les zones rurales    Unité des rangs et actions héroïques ancrées dans la mémoire nationale    La baguette normale devient un luxe    Une série d'accords signés entre l'Algérie et le Rwanda    La Fifa organise un séminaire à Alger    Khaled Ouennouf intègre le bureau exécutif    L'Algérie et la Somalie demandent la tenue d'une réunion d'urgence du Conseil de sécurité    30 martyrs dans une série de frappes à Shuja'iyya    Lancement imminent d'une plate-forme antifraude    Les grandes ambitions de Sonelgaz    La force et la détermination de l'armée    Tebboune présente ses condoléances    Lutte acharnée contre les narcotrafiquants    La Coquette se refait une beauté    Cheikh Aheddad ou l'insurrection jusqu'à la mort    Un historique qui avait l'Algérie au cœur    







Merci d'avoir signalé!
Cette image sera automatiquement bloquée après qu'elle soit signalée par plusieurs personnes.



Le projet de clinique mère et enfant n'avance pas
Draâ El-Mizan (Tizi Ouzou)
Publié dans Liberté le 25 - 04 - 2021

Plus d'une année après la visite du wali sur le site de la réalisation de la clinique mer et enfant de Draâ El-Mizan, au sud de la wilaya de Tizi Ouzou, en compagnie des autorités locales et du directeur de la santé, ce projet n'a pas avancé d'un iota, en dépit des instructions fermes données par le chef de l'exécutif au CTC et au bureau d'études.
Selon les explications données sur les lieux, l'arrêt des travaux est dû à "l'instabilité du sol". À rappeler que le 10 mars 2020, peu avant le début de la crise sanitaire dans notre pays, le wali avait donné un délai d'un mois aussi bien pour le bureau d'études que pour le CTC afin d'établir un rapport détaillé sur cette structure sanitaire en vue de sa relance immédiate, eu égard à son importance pour toute cette région.
Ce projet est inscrit, pour rappel, dans le programme quinquennal 2010-2014, et les travaux ont été officiellement lancés le 25 juin 2012. Malheureusement, après leur avancement de 30%, ils ont été stoppés net en 2014. Depuis cette date, seules deux structures en béton ont quelque peu avancé et lui donnent l'aspect d'une construction à l'abandon.
Quant au troisième bloc, les travaux n'ont même pas été entamés à cause justement de l'instabilité du sol qui compromettrait le projet en question. Cette polyclinique, qui aurait rendu d'énormes services à la population de toute la daïra qui s'élève à plus de 100 000 âmes et aux habitants des communes limitrophes des wilayas de Bouira et de Boumerdès, si les délais contractuels de réalisation étaient respectés, est, donc, en souffrance, pour ne pas dire qu'elle risque de ne plus voir le jour, notamment en cette période de crise financière.
Le montant retenu initialement pour la concrétisation de ce projet a été évalué à 172 millions de dinars. Un montant, sans doute, appelé à être réévalué en cas de reprise des travaux. Cette clinique s'étend sur une superficie de 2 539 m2.
Elle comprend trois blocs : l'infrastructure technique (chaufferie, poste de transformation, groupe électrogène, local de fluides médicaux, atelier d'entretien, blanchisserie, magasin, dépôt de linge, atelier de stockage), la PMI et le pavillon des urgences avec sa radiologie diverse et un laboratoire d'analyses médicales.
Depuis l'arrêt des travaux, la population de la région n'a cessé d'interpeller les responsables concernés au sujet de cette structure sanitaire dont l'implantation soulagera les malades de la région et les parturientes de toute cette vallée, alors que certaines d'entre elles se dirigent souvent aux cliniques d'accouchement privées moyennant des tarifs colossaux. À quand alors la relance de ce projet ? se demande-t-on à Draâ El-Mizzan.

O. Ghilès


Cliquez ici pour lire l'article depuis sa source.