El-aouana (jijel LANCEMENT DES TRAVAUX DE REALISATION D'UN PORT DE PÊCHE ET DE PLAISANCE BIENTÔT Une enveloppe financière estimée à 160 milliards de centimes a été affectée par les pouvoirs publics comme première tranche pour la réalisation d'un port de pêche et de plaisance dans la commune d'El- Aouana, à 20 kilomètres à l'ouest du chef- lieu de wilaya Jijel. Plusieurs entreprises étrangères spécialisées dans la réalisation de ces ouvrages ont effectué des visites sur les lieux, dernièrement, à l'instar des Coréens, des Italiens, des Croates et des Chinois. Selon le directeur des travaux publics, l'appel d'offres national et international pour la réalisation de ce projet a été lancé la semaine écoulée. Le port de pêche et de plaisance est d'une capacité de 210 bateaux dont 140 plaisanciers et 70 bateaux pour la pêche de la sardine et du poisson blanc. La fiche technique du projet prévoit la réalisation d'une digue ouest sur 368 mètres et d'une digue est sur 310 mètres et d'un terrain aménagé sur 5 hectares. Mourad Bouchama El tarf 600 milliards de centimes pour la résorption de l'habitat précaire Plus de 600 milliards de centimes alloués à des municipalités nécessiteuses dorment dans les comptes de ces communes. Destinés à venir à bout du manque de logements au niveau de plusieurs agglomérations, en particulier celles à forte densité de population de la wilaya et à la résorption de l'habitat précaire, plus de 75% de cet argent n'ont pas été utilisés jusqu'à présent par les gestionnaires communaux pour des raisons qui demeurent pour le moins mal élucidées. Aussi paradoxal que cela paraisse, nos interlocuteurs nous apprennent que les présidents d'APC, au cours des différentes réunions de coordination, se plaignent de la faiblesse des budgets pour lancer le programme de réhabilitation de l'habitat précaire, alors que leurs comptes regorgent de sommes faramineuses. Selon un haut responsable au niveau d'une direction de l'administration, cette importante somme d'argent est conçue pour donner un autre visage aux logements précaires recensés récemment à travers l'ensemble des agglomérations de la wilaya d'El Tarf, notamment à El Kala, El Tarf, Dréan, Ben Mhidi, Boutheldja et Bouhadjar, Chébaïta-Mokhtar, Chatt... Dans la commune de Ben M'hidi, de ce programme pourtant ambitieux, il n'en a été consommé que les 55% et un peu moins dans les autres collectivités locales. Certains élus de collectivités locales ne l'ont même pas touché. Il est vrai à dire que la plupart des administrations de la wilaya d'El Tarf ont fonctionné sous la bénédiction d'intérimaires. Ce n'est que récemment que des directeurs exécutifs titulaires ont été désignés pour gérer les affaires des citoyens de cette wilaya de l'arrière-pays. Tahar B. Sétif plus de 37 millions de dinars pour le gardiennage Le gardiennage des logements fermés à Sétif a coûté plus de 37 millions de dinars à l'OPGI pour le seul exercice de l'an 2006. Ce manque à gagner dans les finances de l'office est dû à la non-distribution des logements en temps opportun. Certains logements restent fermés pendant plusieurs mois, voire plusieurs années. Notons que cette enveloppe a été allégée après le recours à des sociétés privées de gardiennage et de surveillance. Faouzi S.
