Dans un communiqué transmis à notre rédaction par le secrétaire de la section Ugta des journalistes de presse de la wilaya de Mascara, en l'occurrence notre confrère Aïssa Bouazza, qui a dénoncé avec véhémence les agissements d'un des chauffeurs du nouveau wali, à l'encontre de notre consœur du journal arabophone El Echaab, accréditée dans la wilaya de Mascara. Selon le communiqué dont une copie se trouve à notre niveau fait état de la part de ce protégé du nouveau wali, qui a usé via des gestes déplacés et autres saugrenus messages impolis. Il est important de souligner que le communiqué qui nous a été transmis en date du 28 février 2019, et dont nous avons par respect à notre éthique et déontologie temporiser la parution de cet article, pour discerner la réaction du nouveau wali de la wilaya sur cette dérive qui en dit long dans ce qui se passe au cours de ses déplacements des plus confuses. Ce n'est pas la première cuvée de ce protocole pas comme les autres, où la presse libre et indépendante est devenue pour certains énergumènes un terreau d'une société mal en point, une société désemparée malade Car au-delà de l'habituelle violence physique, limite condamnable à ne pas franchir, comment expliquer la recrudescence et la banalisation d'une nouvelle forme de violence apparue assez récemment et devenue monnaie courante dans nos échanges et interactions sociales au quotidien : obscénités, insultes, blasphèmes, injures... ? Sans rentrer dans les détails qui fâchent qui se font, paraît-il, à l'insu du premier responsable de la wilaya. Il est inconcevable d'insulter des journalistes et pis encore de les harceler, et ce, devant le regard médusé des responsables nouvellement installé et qui ont d'autres ‘chats à fouetter'! Dans ce cadre bien précis, nous ne voulons nullement rentrer dans les détails qui fâchent ce véritable ‘triangle des Bermudes', ordonné de force a la wilaya de Mascara, par des mains occultes extra-muros et qui semble surnager dans des affaires qui en disent long par ces temps d'austérités au temps de choléra. Nonobstant ces dérives depuis l'installation du nouveau wali, la corporation, bien sûr, qui se respecte, une minorité malheureusement loin d'être des bonimenteurs a la solde des rapaces qui se sont allouées rendez vous dans la wilaya de Mascara, qui veulent a tous prix chassés la presse indépendante nationale. Dans un autre contexte, notre consœur d'El Echaab, nous a fait part des menaces a peine voilés de certains directeurs d'exécutifs proches du wali sur des poursuites judiciaires a son encontre en cas de parution d'articles jugés diffamatoires, a l'exemple du directeur du commerce qui agite cet éventail a chaque occasion. C'est honteux d'arriver a ce point de la médiocrité, où des garants irresponsables font et défont les lois de la république à leurs guises. Revenons à nos moutons, revenons aux choses sérieuses pour dénoncer le comportement odieux de certains vigiles et autres supplétifs du tout nouveau wali, manu militari une expression du XIXe siècle qui veut tout enseigner dans la wilaya de Mascara, livrée aux quatre vents. Enfin, on se demande comment sont traités les simples citoyens et autres villageois de la part de cet énergumène personnage, qui parait-il, dispose d'un bras long ? C'est honteux d'arriver à ce point-la devant le regard médusé du premier magistrat de la wilaya. ! Le protocole en question, ou du moins de ce qui en reste, c'est-à-dire qui se sont maintenu, et ce, depuis plus de quatre années connaît parfait ce genre d'intimidations à l'endroit des confrères qui ont une certaine fierté dans la profession, de ne pas s'agenouiller et dans l'aplaventrisme de soumission pour des considérations alimentaires et autres cadeaux en plastique à deux sous. Le wali, dont on a fait par des agissements d'individus douteux qui pivotent autour de ce protocole pas comme les autres sont restées lettre morte, et ce, depuis la journée nationale de la presse, en date du 22 octobre 2018,et dont le tout nouveau wali a visité furtivement la maison de la presse qui se trouve dans un état de délabrement total, au cours de cette journee, qui a vu incroyablement le premier magistrat de la wilaya empêché intelligemment par ce protocole pantouflard, arrogant a visiter notre bureau, si ne c'était nos appels a plus de considérations. Enfin, ce qui s'est survenu a notre consœur n'est pas nouveau, c'est une suite d'impunité dans une wilaya qui mérite mieux où les journalistes sont insultés par des responsables et autres maussades pseudo-élus sans foi ni loi. Enfin, on se demande comment sont traités les simples citoyens et autres villageois de la part de cet énergumène personnage, qui parait-il, dispose de bras long ? C'est honteux d'arriver à ce point-là devant le regard médusé du wali ! A notre sens, il y a urgence à réformer le monde du travail et celui de l'éducation, ces deux grands secteurs Co-organisés avec l'Etat. Si on ne réforme pas, on fait du dysfonctionnement un mode de fonctionnement. Et ça marche d'autant mieux que tout va mal. Sans être parvenus a les projeter devant tant de complot contre la presse dans la wilaya de Mascara, les responsables qui régente la chose publique,n'ont pas identifiés les menaces qui pourraient détourner le sens de l'histoire…En vain ! Enfin, le secrétaire général du Ssyndicat national des journalistes du bureau de wilaya de Mascara denonce à son tour ces pratiques maffieuses d'un autre âge à l'endroit de notre consœur d'Echaâb y compris des autres correspondants et journalistes de la wilaya de Mascara, qui sont quotidiennement menacés et humiliées par des responsables cravatés et patentés du système moribond !
