La décision irréfléchie relative à la suppression du tableau pourtant le portrait géant du père du nationalisme et de l' étoile nord africaine en l'occurrence Messali El Hadj une figure emblématique continue d'alimenter l'opinion publique tlemcéniens voire une véritable polémique installée au sein de la société civile s'interrogeant sur les tenants et les aboutissements de cette affaire en un laps de temps par le maire de la cité des Zianides sans l' accord des autres directions à savoir la direction de la culture et celle des moudjahidine lesquels n' ont pas été du tout informées pourtant un élu de l' APC avait pointé du doigt celui qui a été à l'origine de cette fameuse décision incompréhensible prise activement d' ailleurs les autorités locales n' ont osé bougé le petit doigt surtout que la mission confiée à ce dernier à savoir la gestion des affaires communales n' est loin de voir de jours meilleurs une situation confirmée lors d une virée effectuée à travers les grands artères de la ville offrant une image de désolation compte tenu de la dégradation du cadre de vie des citoyens caractérisé par une série de contraintes portant sur l' éclairage défaillant la présence d immondices longeant nos trottoirs offrant aux riverains un paysage hideux portant bien avant l entame de la saison estivale Mr Bechlaoui Youssef le wali de Tlemcen prenant le taureau par les cornes avait mis le gros paquet mettant en place tous les moyens financiers matériels et humains afin de lancer une véritable campagne de nettoiement à travers tout le territoire de la wilaya. Malheureusement celle ci n'a pas eu les effets escomptés d' ailleurs rien n' a changé en matière de propreté une question vérifiée lors de notre présence au parc d' attractions où les visiteurs se sont lamentés à la première vue de l' état actuel du dite parc d'ailleurs l' avis partagé par un couple constantinois lequel a été surpris regrettant les beaux séjours d antan vécu lors de son passage à de Sidi Boumediene ville d' art et d' histoire malheureusement aujourd'hui elle garde que le nom.
