Outre la formation pédagogique relevée notoirement comme nécessité impérieuse, il s'avère que le challenge pratique inhérent au renforcement des capacités d'encadrement et d'animation des activités de volontariat par la mobilité de la jeunesse soit pris en charge avec agrégation du fait de la conquête des qualités serviables en matière de la bonne gestion des groupes et le succès escompté des projets mis en œuvre.Convenablement éclaircie, la spirale de mobilité de la jeunesse constitue, sans réserve aucune, une seconde école de perfectionnement et d'obtention de valeurs managériales et de leadership. Il s'avère pertinemment que la formation et l'encadrement de la jeunesse aboutit, sans crépuscules, à concéder considérablement des profils en adéquation avec le marché d'emploi. En parallèle, posté comme circuit érudit, on relève, à travers des expériences examinées que la mobilité de la jeunesse contribue également au renforcement des capacités d'encadrement et d'animation des activités en général et celles liées au volontariat en particulier. L'accent, dans cette contribution sera mis, avec une approche innovatrice, sur l'importance de la mobilité de la jeunesse et ses profits en prime l'acquisition des aptitudes et capacités d'encadrement et d'animation des activités. Pour cela, les espaces pédagogiques, certes, sont disponibles et jugés bénéfiques, mais la sphère professionnelle demeure une voie inaccessible aux larges catégories. En pratique, le volet du volontariat se présente comme un milieu distinctif où sont aperçus des potentialités individuelles. La question principale qui se pose avec une clairvoyance : Quelle est l'adéquation entre mobilité de la jeunesse et renforcement des capacités d'encadrement et d'animation des activités de volontariat ? Peut-on relever un état des lieux ? Un témoignage est-il un paramètre d'évaluation ? Considérant l'importance de la consistance du projet en question, la mobilisation de la jeunesse, non seulement épargne la société des phénomènes néfastes mais canalise cette énergie dans un cadre de bienfaisance et de promotion de valeurs citoyennes. Le choix du domaine du volontariat n'est pas anodin. Aucune spontanéité n'est admise. Le choix est porté à partir de la résilience des acteurs et l'accessibilité à l'activité sans contraintes réglementaires, ni financières ou instructives. L'accessibilité est gratuite et bienveillante. Les acteurs, sont certes, de tranches d'âge multiples mais en majorité , se sont les jeunes qui s'aventurent à la recherche des espaces d'expression de leur propre volonté et en quête des expériences illimitées, sans toutefois oublier leur souci d'être constamment en communion, en inter-échanges, en apprentissage et découverte des horizons géo professionnels. Par instinct biologique et curiosité sociologique, cette frange admet non seulement des aventures, mais aussi est en constante formation si un encadrement se présente en avantages. La problématique posée, indique que le milieu associatif et les espaces de créativité sont favorables. Le renforcement des capacités d'encadrement et d'animation des activités de volontariat : le domaine de volontariat se présente comme activité libre, n'exige pas de conditions d'admission. Il suffit d'être volontaire. Le relevé en précipitation d'avoir pensé à cet axe névralgique comme base salvatrice au sein de la société et comme configuration de sociabilité et d'entraide, est bel et bien, une série de contraintes accommodées lors d'un état des lieux suite aux cycles de chantiers de travail volontaire accompli avec satisfaction dont chacun tire profits et avantages, combien sont nombreux et bénéfiques. En somme, l'insuffisance de l'approche systémique des méthodes participatives ; manque de savoir- faire des animateurs en matière d'activités de loisirs et culturelles ; des conflits au sein du groupe mal géré, les attentes des jeunes insatisfaites, et trouvent des modalités d'expression violentes ; le mode des organisation des structures chargées de la jeunesse ne mettent pas en avant le rôle des jeunes dans la préparation des activités et la prise de décision dans la mise en œuvre des programmes d'actions. Comme, il a été relevé que les jeunes sont disponibles et motivés pour un travail volontaire mais manquent et/ou se trouvent en position de besoin d'une nouvelle organisation en commençant par la transmission des éléments d'information de base comme la nature, l'utilité de travail volontaire, la communication et le sens d'écoute et ensuite un encadrement propice. L'amélioration de cette situation défectueuse passe par un traitement de ce relevé angoissant ; la création des espaces d'information, de sensibilisation et d'orientation ; encouragement des espaces de rencontres de concertation entre les jeunes, le renforcement des compétences en méthodologie d'animation des jeunes et celles d'encadrement d'animateurs de chantiers ; élaboration de projets pédagogiques inscrits en réponse aux attentes des jeunes volontaires et de futurs participants ; la mise en débat des contraintes rencontrées par des jeunes en touchant les différents cycle du projet ; présentation d'un travail de capitalisation des expériences acquises ouvertes aux structures travaillant à l'encadrement des chantiers de volontariat ; la création d'un réseau de mobilité de jeunes admis en domaine volontariat. La mobilité de la jeunesse : Ce choix s'inscrit dans une clairvoyance de citoyenneté. Cet axe stratégique renseigne sur l'importance de la jeunesse comme acteur dans le processus et la dynamique de réalisation des projets de développement y compris le sous secteur formation. D'ailleurs, si le renforcement des capacités d'encadrement passe avec dévotion et intelligence, par une formation pédagogique, un perfectionnement et apprentissage professionnels, il est notoire que la mobilité de la jeunesse nécessite un espace de concertation et de composition. On entend par mobilité, la recherche d'un changement de la constance d'une frange d'une société digne pour une prise en charge en prévision, non seulement de lui inculquer un potentiel de notions managériales et de commandement, mais aussi assurer honorablement une relève de demain. Cette mobilité se fait en actes concrets illustrés par des inters-échanges entre structures de gestion par la mobilisation de la jeunesse structurée ou déterminé. Comme conditions, il est souhaitable qu'une pratique associative d'animation dans un chantier de volontariat soit affichée dont la participation du genre féminin fait partie intégrante comme composante fortement encouragée en réponse aux termes d'égalité et d'exercice démocratique. Objectifs et efficacité des activités : L'objectif principal du projet est d'amener les jeunes issus de différents horizons géographiques du Nord comme ceux du Sud ou de l'Est comme ceux de l'Ouest à se familiariser avec un environnement des chantiers de travail volontaire en leur inculquant les méthodes et techniques d'animation des groupes en suscitant une réflexion autour de l'organisation et la gestion du cycle de projet. Egalement, d'autres objectifs secondaires sont en somme comme suit : contribuer à l'épanouissement des jeunes et leur engagement dans la société civile autour des thématiques de valeurs citoyennes, de solidarité, de fraternité, de protection de l'environnement, de préservation du patrimoine culturel et immatériel et de surcroît, acquérir le sens de la responsabilité et celui de la prise de décisions. Promouvoir leur participation à la conception, la réalisation et le suivi de projets associatifs de développement local et favoriser l'émergence de potentialités individuelles et collectives. Outre ses objectifs principaux, on cite d'autres objectifs spécifiques tels que renforcer les compétences d'encadrement en matière d'animation pédagogique et insertion au développement local. Appréhender les concepts liées à la gestion du cycle du projet, et celles liées aux questions et enjeux de développement local et communautaire, identifier les techniques de tenir les réunions et de prise de résolutions, créer un espace d'échange entre différents acteurs des chantiers en vue d'assurer une synergie de coordination de leurs actions entreprises. Quant aux principales activités préconisées, elles se résument en la participation d'un nombre important de volontaires aux chantiers, issus de diverses régions géographiques de notre vaste pays, organiser des portes ouvertes suivies des conférences abordant des thématiques liées aux enjeux environnementaux, celles relatives à la dynamique des groupes, la psychosociologie, les techniques de communication, de la médiation, et de la conciliation, l'éducation citoyenne, la promesse en développement local est en somme celles suscitant l'enthousiasme de la jeunesse ; répartis à travers des grands centres urbains et centré le mouvement de sensibilisation et de vulgarisation ou une forte adhésion de volontaires, notamment au Grand Sud. Sans toutefois oublier la programmation des stages de formation dans les mêmes formes. Ce stage axé sur plusieurs sessions de courte durée prévues à la longueur d'année, consiste à la formation des prospecteurs de chantiers, des encadreurs et des animateurs de chantiers de travail volontaire dont les formateurs doivent avoir la qualité d'être déjà dans le milieu associatif avec un grain de sel de participer aux chantiers de travail volontaire. Les futurs prospecteurs, encadreurs et animateurs sont repérés, jadis, lors des chantiers tenus précédemment sur proposition de leurs animateurs. Les qualités requises, outre la maîtrise de la gestion du chantier et la dynamique du groupe, accommodé à un programme pédagogique, cordonné avec ses partenaires, gérer pacifiquement les litiges et sa détermination de servir la collectivité sont autant de caractères exigés du stagiaire. Le rôle de l'animateur est de repérer ces bonnes volontés en vue, non seulement d'assurer la relève, mais aussi, par conscience que le nombre et la diversification de la nature des activités assurées par la réalisation des chantiers sera intensifié et augmenté. Le lieu de stage ne peut être choisi d'une manière aléatoire nonobstant sur un critère d'attirer autant de concentration de l'entourage, par la mise en place en parallèle d'une exposition en place publique. En conclusion, considérant la problématique posée en renforcement des capacités d'encadrement des activités de volontariat par la mobilisation de la jeunesse, il s'avère que le processus de conception et d'exécution soit laborieux mais le résultat serait jugé bénéfique. Le mouvement des échanges de jeunesse, forme un potentiel humain avantageux et crée une dynamique socio-économique sur le territoire. Car, le développement local passe inéluctablement par une synergie de plusieurs acteurs y compris la société civile. La réciprocité et la concertation sont des atouts complémentaire d'amener à termes la réalisation du projet en question. En somme, l'offre du cadre juridique, la destruction des mentalités meurtrières, les moyens financiers, une vision stratégique comptent énormément également dans le succès des objectifs escomptés. L'intérêt commun et préservation de la cohésion nationale demeurent un intérêt suprême dans la conception de toute action. Ces facteurs répondront en corrélation à la conjoncture et réalité socio-économique en général et aux controverses de la question du sous-développement. Il est notoire que la jeunesse constitue une force bio-énergétique inévitable dans le processus de l'édification de toute la nation. Nadir Hama – DESS en Réglementation