La rencontre de football marquant la fin de la campagne des éliminatoires de la Coupe du monde 2026 entre l'Algérie et l'Ouganda, disputée hier mardi 14 octobre au stade Hocine Aït Ahmed de Tizi-Ouzou, s'est conclue dans une ambiance d'allégresse populaire d'une rare intensité. Malgré un arbitrage largement contesté et des provocations du camp ougandais, les Verts ont su imposer leur jeu et offrir au public une victoire méritée. Sous un ciel embrasé par les lumières du stade et les fumigènes aux couleurs nationales, près de 40.000 supporters en liesse ont laissé éclater leur joie au coup de sifflet final. Les tribunes vibraient au rythme des chants patriotiques et des slogans à la gloire de l'équipe nationale, tandis que les youyous fusaient de toutes parts, couvrant même la voix des commentateurs. L'atmosphère était électrique, débordante d'émotion et de fierté. Dans les rues de Tizi-Ouzou, les klaxons résonnaient sans relâche, formant une symphonie de victoires qui s'étend bien au-delà des limites de la ville. Des cortèges improvisés défilaient, drapeaux algériens à la main, enfants perchés sur les épaules de leurs parents, visages peints aux couleurs nationales. Les supporters venus des wilayas voisines – Béjaïa, Bouira, Boumerdès ou encore Alger, Oran, Constantine, Souk Ahras, Béchar, Adrar, Khenchela,- participaient à une même communion, symbole d'unité nationale autour de l'équipe. Les terrasses, les balcons, et même les toits des immeubles étaient occupés par des familles agitant fièrement le drapeau vert, blanc et rouge. Les chants "One, two, three, viva l'Algérie !" se mêlaient aux youyous des Femmes et aux rires d'enfants émerveillés. Dans cette euphorie collective, certains jeunes scandaient déjà : "On vous suivra au Maroc !", en référence à la prochaine Coupe d'Afrique des Nations, tandis que d'autres réclamaient la victoire finale, persuadés que cette équipe est capable d'écrire une nouvelle page dorée du football national. La fête a pris son envol au coup de sifflet final, confirmant ainsi la belle fin de campagne des éliminatoires de la Coupe du monde 2026 pour les Verts, victorieux face à l'Ouganda (2-1). L'équipe nationale termine en tête de son groupe et s'offre une qualification éclatante pour le Mondial 2026. Un programme inédit, minutieusement préparé par les autorités locales, est venu amplifier cette célébration en l'honneur d'une Algérie conquérante et triomphante. Dès le coup de sifflet final, confirmant la victoire des Verts et leur qualification historique pour le Mondial 2026, la pelouse du stade Hocine Aït Ahmed s'est métamorphosée en une immense scène de liesse populaire. Artistes, supporters, familles et officiels se sont unis dans un même élan de joie, tandis que des feux d'artifice illuminaient le ciel de Tizi-Ouzou, éclatant aux couleurs nationales. Les tribunes vibraient au rythme des chants patriotiques repris en chœur par des milliers de voix, tandis que des danseurs folkloriques, drapés de vert, blanc et rouge, faisaient revivre les traditions algériennes à travers des rythmes endiablés. Les enfants, les visages peints aux couleurs du drapeau, agitaient des banderoles et des drapeaux, symboles d'une fierté retrouvée. Dans les rues alentour, une marée humaine s'est déversée, transformant Tizi-Ouzou en un véritable océan de ferveur nationale. Ce soir-là, l'Algérie, parée de vert, célébrait bien plus qu'une simple victoire sportive. Elle fêtait la renaissance d'un rêve collectif, celui d'un pays rassemblé derrière son équipe, conscient de son potentiel et de sa force. Le football, loin de n'être qu'un jeu, est devenu le miroir d'une nation unie, vibrante et ambitieuse. Entre les chants, les embrassades et les larmes de joie, un sentiment d'appartenance profonde a enveloppé le peuple algérien, gravant dans la mémoire de tous une soirée d'exception, symbole d'un avenir porteur d'espoir et de grandeur.