C'est sur le plan humain et vie syndicale que l'on a jugé très utile de revenir sur le sujet. Le ministre M. Mourad Adjel a, à chaque fois, lors de ses interventions, insisté sur le recrutement et la formation du personnel qui assurera les tâches quotidiennes des deux directions et agences qui verront le jour avec l'évolution des deux wilayas déléguées au stade de wilayas autonomes ou pleines. C'est à ce moment que les correspondants locaux ont compris la présence du nouveau secrétaire général de la Fédération nationale des travailleurs des industries électriques et gazières (Fntieg) en l'occurrence M. Mohamed Abdelfattah Ouled Naoui. A chaque fois que le sujet du recrutement est traité par le ministre, il fixait le syndicaliste comme pour dire : «Les engagements pris avec vous, nous veillerons ensemble pour qu'ils soient respectés et appliqués». Sincèrement on n'en revenait pas. Les syndicats actuels sont des vieux briscards, des septuagénaires et parfois octogénaires évoluant difficilement et occupant des postes bloquant toute initiative vivotant avec la rente viagère de leur pension de retraite et d'un plus offert par des chefs d'entreprise comme ceux qui pompent les 25 voire 28 millions en tant que consultants ou conseiller des P-dg. Revenant aux représentants des travailleurs de la Sonelgaz et de ses concubines constituant cette fédération qui ne fait pas partie de ce lot de la médiocrité. Lors de la visite de la centrale hybride d'Ain Oussera les travailleurs ont été invités à poser pour une photo-souvenir avec leur ministre. Par la suite ils ont accouru pour rejoindre le secrétaire général de la Fntieg. Ils l'ont en quelque sorte assailli, enlacé, embrassé et ils l'ont entouré et posé ensemble pour la photo-souvenir en face du soleil pour la juste lumière sans surexposition qui risquait de cramer la photo-souvenir. C'est ainsi que les sommets restent perrin tant que la base est constituée par du personnel performant et recruté dans la transparence.