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Abdelmadjid Tebboune présente ses condoléances à la famille du cheikh Tahir Usman Bauchi, calife de l'ordre Tijaniyya au Nigeria Présidence de la République
Vendredi soir, le président de la République, M. Abdelmadjid Tebboune, a présenté ses sincères condoléances et sa profonde sympathie à la famille du défunt érudit Tahir Othman Bauchi, successeur de l'ordre Tijaniyya au Nigeria. Le message de condoléances disait : « À la famille du grand érudit Tahir Othman Bauchi, que Dieu ait son âme... » Au nom de Dieu, le Tout-Miséricordieux, le Très Miséricordieux, et annonce la bonne nouvelle aux endurants qui, lorsqu'un malheur les frappe, disent : « Nous appartenons à Allah et c'est vers Lui que nous retournerons. » « Dieu Tout-Puissant a dit la vérité. » Le Président a ajouté : « C'est une tragédie douloureuse qui remplit le cœur de chagrin, et nous ne disons que ce qui plaît à Dieu... Que Dieu vous prenne en pitié, vous accorde de vastes jardins au Paradis et vous accueille dans les plus hauts cieux. » C'est une perte immense pour toute la Oumma musulmane que le cheikh Tahir Uthman Bauchi, érudit islamique nigérian, pilier et guide spirituel de l'ordre Tijaniyya, soit décédé à un moment où la Oumma a tant besoin de lui. Son immense savoir, qu'il a mis au service de pays de notre continent et d'ailleurs, est précieux. Aux côtés des autres savants de la Oumma, il a œuvré à la diffusion de la religion et au renforcement des liens entre les pays d'Islam. Il a toujours figuré parmi les plus éminents de ceux qui ont présenté notre véritable religion au monde. Dans son message, le Président a poursuivi: « Face à cette immense perte, j'adresse, en mon nom propre et au nom de toute l'Algérie, mes sincères condoléances et toute ma profonde sympathie à sa famille et à tous ses proches à travers le monde, et en particulier à ses frères et élèves de l'ordre Tijaniyya au Nigeria, pays frère. Je prie Dieu Tout-Puissant de lui accorder Sa Miséricorde et d'inspirer à sa famille patience et réconfort. À Dieu nous appartenons et à Lui nous retournerons. »
