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Sur les sept répertoriées, seul deux résistent encore !
Béjaïa : les portes de la ville
Publié dans La Nouvelle République le 18 - 08 - 2010

Ces deux grands portes encore debout, ou leurs vestiges puisque c'est le cas de le dire, sont encore là, mais l'état de délabrement dans lequel elles se trouvent prouve qu'elles manque d'un entretien flagrant.
La porte de la mer (Bab el Bahr) communément appelée la porte Sarazine, située face ou port de voyageur, elle se dresse encore sur cette placette. Son état est peu reluisant et nécessite bien de travaux pour une véritable rénovation. Elle continue, même sans susciter une véritable curiosité d'être un arrêt obligatoire pour tous les béjaouis quelqu'en soient leurs destinations.
Une murette de cloison, et une porte qui ferme lui ote son caractère de lieu public, et une caféteriat exercice son activité en son sein.
Elle reste tout de même un grand carrefour et un lieu de rendez-vous par excellence.
La porte des étendars (Bab El Bounoud) également désignée par Bab El Fouka, incontestablement elle est mieux conservée, sans doue par le fait d'être quelque peu cachée. A l'arrière du boulevard Amirouche, à l'intersection entre le marché Phillipe, la mosquée Sidi Soufi, et du cimetière Sidi M'hand Amokrane, véritble porte de fortere. Aussi bien la muraille qui la soutien, que la porte en bois massif.
Quant aux cinq portes «disparues», nous avons demandé à quelques doyens de la ville de bien vouloir nous dire un peu plus sur leur emplacements, et malheureusement nombreux sont ceux qui ignorent où elles se trouvent notamment les plus jeunes.
Certaines sont évoquées et confondues avec celles des quartiers à l'image du quartier de «Bab El Louz», ce vieux et haut lieu de la ville qui menace ruine et qui sans une rénovation suivra cette porte vers la postérité.
Bab Es-Sanaa son emplacement se situe entre deux sites historiques la citadelle de la Casbah un monument classé, et la route de la mer, en hauteur de la porte Sarasine et Sidi Abdelkader.
« Bab Imesiouen ou assioun était située au quatier de la bridja situé auplus haut point de la ville sur la route de Gouraya près du camp de concentration qui donne sur le Cap Carbon.
On évoque également «Bab Gouraya», mais celle-ci qui est en fait une entrée du parc national a ét une œuvre récente non répertoriée parmi les portes de la ville. Autant d'endroits historiques qui ont sombré dans l'oubli, un peu comme tous les autres monuments et vestiges de la ville dont nombreux sont classés, mais continuent d'être négligés et vont chaque jour un peu plus vers l'écroulement, au risque d'effacer de la mémoire des concitoyens tous les trésors que recèle Béjaïa.
Quant on évoque la Casbah, Bordj Moussa, Gouraya, l'aqueduc, Bordj Bou lila, Sidi Yahia, Abou Zakari autant de lieux mythiques, classés criant leur détresse face à la placidité des pouvoirs publics par le fait que ces monuments doivent être pris en charge.
A défaut de ces rêves impossibles, la menace, elle, est une réalité.


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