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Algérie-egypte, les prolongations de la haine
Publié dans Le Quotidien d'Oran le 03 - 12 - 2009

Pour peu que l'on appartienne à l'engeance humaine et que l'on soit un tant soit peu civilisé et fair-play, le lieu où se déroule une rencontre de football importe peu, comme le démontre la qualification du Cameroun au Maroc ou celle du Nigéria en terre kenyane, sans parler de l'Europe ou de l'Amérique du Sud.
Sauf, quand il s'agit d'affronter l'Egypte sur les bords du Nil et les exemples sont légion : Algérie en 1984, 1989 et 2009, Zimbabwe en 1993, Côte d'Ivoire en 2006, sans compter les clubs qui ont eu à affronter les équipes locales pour le compte des joutes continentales. Henri Michel, entraîneur de la Côte d'Ivoire en 2006, affirmait «qu'il était inconcevable pour les Egyptiens de perdre au Caire et qu'il ne fallait surtout pas s'y hasarder».
Pour l'Algérie, «la campagne égyptienne» et c'en est une au sens propre du terme, au vu des dernières informations qui nous parviennent du Caire, n'est pas encore sur le point de connaître son épilogue. Décidément, pour obtenir une victoire définitive contre l'Egypte pour la qualification en Coupe du monde de football, il va falloir jouer plusieurs matchs à la suite et sur plusieurs tableaux, pas uniquement sur un terrain de jeu.
L'Algérie vient de s'en rendre compte à ses dépends en pensant naïvement qu'il suffisait d'avoir une formation jeune, audacieuse, avec du talent à revendre et un savoir-faire footballistique confirmé pour décrocher son billet sud-africain comme cela est le cas pour les équipes qualifiées de par le monde.
Combien même sommes-nous déjà en Afrique du Sud, la désillusion est à la mesure de l'hystérie collective qui a précipité dans les abysses du ridicule, toutes les sphères de la décision en Egypte. Aujourd'hui, Moubarak, ses rejetons nés avec une cuillère d'argent dans la bouche, sa cour obséquieusement soumise et... tutti quanti, nous imposent des prolongations à rallonge qui n'en finissent pas de finir comme ces feuilletons de mauvais goût dont ils gardent jalousement les secrets de fabrication.
Rêvons un peu et disons-nous : si par le plus grand des miracles cette Egypte vénéneuse et vindicative reprenait ses esprits, revenait à la raison pour entamer une réflexion salutaire sur elle-même et réorienter vers l'Est ses colères et ses menaces au lieu de pointer son animosité et ses rancoeurs sur un ennemi supposé, hier «pays frère», qui lui ferait ombrage à l'Ouest : l'Algérie.
Parce qu'il est très difficile de croire un instant que le résultat d'un simple match de football joué au Soudan, malgré l'enjeu, en serait la cause. Les raisons de cette remontée nauséabonde d'un ressentiment profond longtemps contenu, demeurent obscures et l'explication par l'excuse d'un résultat sportif défavorable serait trop courte pour être totalement crédible.
Il faut admettre que cette campagne menée par tout ce dont l'Egypte dispose d'appareils haineux et d'instruments de propagande ne peut s'exécuter sans l'assentiment et la bénédiction des plus hautes instances politiques de ce pays. Pour quelle raison ? La question a le mérite de s'inviter au débat pour convoquer l'analyse froide et sereine.
Dans ce contexte, il n'est donc plus question de se contenter de justifications simplistes, évasives ou diplomatiques qui placeraient ces dérapages sur le compte d'une déception passagère. Les raisons sont autrement plus profondes et à rechercher ailleurs.
LE TERRAIN DE L'AGRESSIVITE
C'est en juin, après leur défaite de Blida, que le plan ourdi par la F.E.F. a été mis au point par Zaher et consorts si bien que toute honte bue et convaincu d'une curieuse immunité à toute épreuve vis-à-vis des instances internationales du football et du Pouvoir politique de son pays, il lança à l'attention de «la plèbe» à travers des médias aux ordres son fameux «le 14 novembre nous recevrons chez nous les Algériens et faites d'eux ce que bon vous semble». Voilà que la messe est dite car la suite sera un enfer indescriptible vécu dans la chair et le sang par le onze national et le millier de supporters qui se sont déplacés en Egypte, croyant à tort se rendre sur une terre de culture et de paix.
Il est établi que le bus de l'E.N. a été dirigé sciemment par les services de sécurité égyptiens chargés de sa protection vers le traquenard qui lui a été tendu pour subir un caillassage en règle de la part d'un millier de supporters devant les télévisions du monde entier. L'objectif étant, bien sûr, de terroriser les joueurs, de leur porter atteinte physiquement et moralement afin qu'ils perdent toutes leurs capacités pour affronter le team égyptien deux jours plus tard, la peur au ventre.
Cela n'a pas du tout démonté le vaseux Zaher qui a été jusqu'à présenter l'agression comme étant une mise en scène algérienne, que le bus a été caillassé de l'intérieur et que les joueurs se sont fait hara-kiri. Retenez-nous s'il vous plait, nous risquons de mourir de rire.
De leur côté, les supporters algériens ont été soumis à toutes les humiliations possibles et imaginables : de l'insulte simple à l'agression à l'arme blanche en passant par l'humiliation des femmes qui se sont déplacées en nombre au stade, par une fouille impudique. Pire encore elles ont dû subir une exposition éhonté de leur nudité devant les flics égyptiens, ceux-là même qui se mettent à plat ventre et offrent leurs dos comme marchepieds pour éviter aux touristes femmes de se salir les baskets lorsqu'elles doivent traverser une flaque d'eau.
D'autre part, l'atteinte aux symboles de la Nation algérienne a été exécutée en live, au stade, en sifflant l'hymne Kassamen pendant la présentation des équipes et en brûlant «courageusement» un peu plus tard, sous l'oeil des caméras, l'emblème national.
LE TERRAIN MEDIATIQUE
Revenons un instant sur les éléments déclenchants pour rétablir la vérité d'une argumentation superficielle déversée à longueur d'onde et dégoulinant d'un langage glauque, une dizaine de jours durant, par une armée de commentateurs serviles et une pléthore d'artistes aux ordres en mal de notoriété.
En effet, dès le coup de sifflet final scellant définitivement l'élimination des protégés de Shehata du gotha mondial pour quatre années au moins, le Pouvoir égyptien a décidé de lâcher ses chiens sans aucun état d'âme pour verser le fiel sur l'Algérie. Le plan «B», celui de la défaite expliquée par la faute de l'autre, stratégie fomentée par des officines machiavéliques à la solde d'une nomenclature aux abois, est entré alors en exécution.
Dès cet instant, tout ce que l'Egypte charrie «d'élite» supposée ou réelle, du journaleux baveux à la danseuse du ventre en passant par les incontournables douktour à la pelle et mouhandiss à la louche, s'est mise en rangs serrés pour nourrir de concert une diatribe de caniveau servi en cela par un langage ordurier et des démonstrations de déficience mentale et de crétinisme confirmé.
Il va falloir que ces «frères» d'ailleurs finissent bien par admettre un jour qu'une rencontre de football se termine toujours au coup de sifflet final de l'arbitre et qu'elle ne peut en aucun cas s'étirer ad vitam aeternam et se poursuivre sur d'autres registres, avec ou contre leur gré.
Ces prolongations médiatiques de la vindicte orchestrée et de l'anathème programmé cachent mal le désappointement d'un pouvoir supplétif, exécutant des basses besognes, usé par le temps et la corruption, qui a mis en jeu son avenir et le devenir de sa succession dans le poids d'une rencontre pour ressusciter un sentiment de grandeur usurpée, une prétention de prédominance autoproclamée et immorale.
Pour ne plus déchanter souvent, il est impérieux que les Egyptiens reviennent à la raison en passant à l'analyse intelligente de la défaite pour déterminer les causes réelles qui les ont menées à la débâcle soudanaise aujourd'hui, qui les mèneront à des catastrophes autrement plus douloureuses demain et des tsunamis politiques dévastateurs dans un très proche avenir.
D'abord, avisons-les que leurs responsables politiques et leurs dirigeants sportifs leur ont honteusement menti, les ont effroyablement floués en leur faisant croire qu'il suffirait de terroriser les Algériens dès leur descente d'avion pour que le pays retrouve sa splendeur pharaonique, que la misère de 70 millions d'entre eux ne serait plus qu'un mauvais souvenir, que le Nil se démultiplierait à l'infini pour féconder l'Egypte de demain, que Moubarak contraindrait manu militari Peres et Natanyahu à quitter la Palestine, que le centre du monde serait le Caire et que les deux morveux qui prétendent au «trône» seraient l'unique salut pour le pays du Ra afin de lui éviter de devenir le pays des rats.
Ensuite, disons-leur qu'une rencontre de football ne peut en aucun cas accomplir le rôle de moteur de développement seul susceptible d'apporter l'équité sociale, la justice économique, l'égalité des chances et le bonheur pour tous.
La rencontre Algérie-Egypte n'est qu'un paravent, un écran de fumée qui masque mal la tragédie d'un peuple tenu à l'écart des richesses, asservi et miséreux, dominé par une minorité qui affiche son complexe de ne pas maîtriser la langue de Molière, cupide et sans scrupules, qui manie avec dextérité la perfidie et qui ne recule devant aucune trahison, soubrettes ou retournements de veste pour la seule sauvegarde de ses intérêts.
LE TERRAIN POLITIQUE
Sans retenue aucune et faisant fi du langage diplomatique, le personnel politique (formel et informel) outrepassant les convenances d'usage est venu promener sa graisse débordante et sa panique mal contenue sur les plateaux télé, vociférant une haine incompréhensible, injustifiée et injustifiable envers l'Algérie de toujours.
C'est autant dire que tout ce que compte l'Egypte d'Officiel a été jeté dans l'arène pour terrasser le lion algérien, lui faire payer le prix du risque pris par le Pouvoir égyptien en panne d'arguments et très mal conseillé, pour faire passer, tout en douceur, à son peuple le suppositoire de la succession du fils Moubarek au sortir d'une victoire sur l'Algérie. Les valeureux Fennecs se sont tout simplement fait un malin plaisir de lever la jambe sur ce plan pour l'arroser copieusement.
En contrepartie, les autorités algériennes, beaucoup plus rompues à la gestion des crises, ont tenu une position digne, raisonnée et raisonnable. Elles ont pris le parti de ne pas répondre à la provocation et cette posture a été interprétée, à juste titre du reste, par la partie égyptienne comme étant du mépris et du dédain à leur égard, difficile à digérer.
Autant que les autres pays et sûrement davantage en pareil cas, les Pouvoirs Publics algériens ont à coeur d'assurer la sécurité de leurs citoyens et de leurs biens. Que nos «frères» ne se méprennent pas car l'absence de réaction à chaud ne doit pas être comprise ou assimilée à une démission ou une quelconque dérobade.
Chaque chose en son temps et les conséquences (parce qu'il y en aura) seront tirées au moment opportun. Le jour viendra sans aucun doute où le Pouvoir égyptien sera sommé de s'expliquer sur ses outrances et ses dérives actuelles. Les plates excuses de salon et les sourires mielleux de circonstance ne suffiront pas pour combler le fossé qu'ils ont créé en entreprenant sciemment d'insulter le passé, de blesser le présent et d'hypothéquer l'avenir. Trop de haine a été déversée avec l'assentiment officiel pour passer si facilement l'éponge et se vautrer dans son fauteuil sans réaction vis-à-vis de ces loufoqueries d'un âge qu'on croyait à jamais révolu.
L'Egypte est, aujourd'hui, définitivement disqualifiée pour continuer à abriter le siège de la Ligue arabe parce qu'on ne peut cautionner cette arabité dévoyée et cette prétention de croire que ce qui n'est pas égyptien, n'est pas arabe. L'idée d'un siège tournant émise en 2005 est plus que jamais à l'ordre du jour. L'expérience du déplacement du siège à Tunis après la soumission de Sadate en 1976 et la nomination de Chadli Klibi à la tête du Secrétariat général démontre, si besoin est, la pertinence de l'idée qui serait à n'en point douter salutaire pour sauver d'abord et booster ensuite une unité mise à mal par la gestion égocentrique du Caire.
La CAF pour sa part gagnerait davantage en crédibilité et en puissance si elle venait à élire son siège à Addis-Abeba, juste à proximité du Secrétariat général de l'Union africaine qui est son prolongement organique naturel. Cela donnerait davantage de poids et de consistance à cette structure continentale dans les instances planétaires du football en la soustrayant à la mainmise égyptienne et à la suspicion que cela laisse supposer quant à la désignation des arbitres par exemple.
L'expérience de l'homme en noir guinéen qui a officié la rencontre Algérie-Ruwanda est un modèle flagrant de sous-traitance pour le compte des «pharaons», privant l'Algérie de deux buts incontestables afin de garder intactes les chances égyptiennes pour le match suivant. Alors basta, il est grand temps de revenir à des pratiques sportives saines, vidées de leurs charges émotives qu'édictent les nationalismes mal ingérés, les politiques internes en panne de stratégie et les instincts de bas étage.
Les conséquences qui découlent de cette simple rencontre de football nous dévoilent l'autre Egypte, celle de la haine en gras et de l'arrogance en creux qui, loin de nous avoir blessés, a mis à nu son nombrilisme et porté un coup sérieux à l'aura et la mémoire des Nasser, Neguib Mahfoud, Taha Hussein, Cheikh Imam, Ahmed-Fouad Negm, Youcef Chahine, Oum Keltoum et j'en passe...
Une bande de voyous qui a confisqué tout un pays, cultivant la haine et faisant de l'arabité un fonds de commerce malsain, cramponnée à ses intérêts de classe minoritaire et dominante, s'arroge le droit de parler sur ce ton au peuple du million et demi de martyrs, aux descendants de Tarik Ibn Ziad, de Massinissa, de Juba et des Fatimides, bâtisseurs du Caire...
Les concitoyens de Moufdi Zakaria, de Malek Benabi, de Kateb Yacine, de Malek Haddad, de Mouloud Feraoun, d'Ahlam Mostaghanmi, d'Assia Djebar, de Tahar Ouetar de Lakhdar Hamina, d'Ahmed Rachedi, de Bouchareb, de Slimane Benaissa... et j'en passe et des meilleurs... sont venus au Caire la fleur au fusil pour soutenir un groupe de joueurs de talent qui n'avaient d'autre aspirations que de se qualifier loyalement à la Coupe du monde ou de s'incliner sportivement devant plus fort qu'eux.
Ceux qui disposent actuellement des clefs de la citadelle égyptienne en ont décidé autrement, sans égard aucun à l'histoire ou la géographie, convaincus qu'ils étaient du bien-fondé de leur supériorité factice et d'une impunité récurrente dont ils bénéficient depuis des lustres. Ils ont transformé une rencontre de football en une véritable guerre avec tout ce que cela suppose de violence, de mobilisation populaire, de déferlante médiatique et d'aboiement politique.
Mais, pour cette fois, l'os est resté coincé au fond de la gorge et la pilule a du mal à prendre les voies naturelles. Il va falloir pourtant s'y faire quand même surtout si cela se déroule sur terrain neutre, à la loyale, sans guet-apens ni danse du ventre.
Avec un sourire en coin et bien des élégances.
* Enseignant universitaire à la retraite - Bordeaux.


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