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Au fil... des jours - Communication politique : nouvelles du front ! (1ère partie)
Publié dans Le Quotidien d'Oran le 10 - 11 - 2018


  Lundi 1er octobre 2018 :
Entendu le «coup de gueule» de Amina Bouaroui (vous connaissez, la passionara du mouvement Barakat) : «Vous savez combien d'intellectuels algériens ont alerté sur ce qui nous arrive aujourd'hui ? Des centaines...des Algériens brillants que personne ne lisait si ce n'est une minorité. Ça me fait rire quand on me dit : pourquoi tu parles le langage de la rue...pourquoi tu écris en derja...Vous voulez quoi ? Que je ponde un pavé philosophique que vont lire 3 personnes ? Je parle le langage de la rue car c'est la rue qui m'intéresse et que la rue ne lit ni Arkoun ni Hegel ni Feraoun ni Kateb ni Mammeri ni Marx ni Smith ni Abbas...mais de temps à autre, elle lit mes conneries et mes conneries sont par contre le fruit de ce que j'ai lu. Je n'ai nullement envie d'être une intellectuelle, bon chic bon genre, qui raconte des trucs abstraits qui ne sont saisis que par des initiés. Je veux discuter comme dans un café populaire, des sujets qui nous concernent tous et notre destinée. J'ai pas du tout envie qu'on garde de moi l'image de l'intelligentsia que je ne suis pas... j'ai juste envie de participer avec d'autres au changement sans qu'on ne garde rien de ma pomme car je ne suis pas une penseuse...mais juste une petite courroie de transmission de ce qui fut, maintes fois, pensé et tant de fois dit... un individu, somme toute, banal qui tire une conclusion de ce qui a été rabâché par de vrais penseurs que nul n'a voulu entendre. Je le dis avec mes mots de rue. Car René Char a dit que celui qui vient au monde sans rien changer ne mérite ni égard ni respect. Le monde a changé. Ça ne lit plus des pavés de 300 pages...ça lit des conneries sur la toile. Mes conneries sont le fruit adapté de ce que j'ai lu... adapté en mode de rue. «Loughatou achari3 fi echari3.»...alors pas la peine de me faire la morale du genre un médecin ne devrait pas parler comme ça...Ferhat Abbas était pharmacien et personne ne l'a entendu quand il a dit qu'on allait dans le mur... trop intello !» . Décourageant pour un «écrivant» malade de son «écriture» mais tout ce qu'elle dit est, hélas, bien vrai ! Et, trois fois hélas, ma bonne amie, l'idéal n'est-il pas de cumuler les deux styles...à utiliser selon les publics.
Mardi 2 octobre 2018 :
Savez-vous que ?Alors que la Nasa, l'Agence spatiale américaine, célèbre ses 60 ans, lundi 1er octobre, près de 2.000 satellites sont actuellement actifs et en orbite, autour de la Terre. Soit 2 fois plus qu'il y a 10 ans. Depuis le lancement du premier Spoutnik, le 4 octobre 1957, plusieurs milliers de satellites ont, ainsi, été envoyés en orbite, autour de notre planète. Selon un expert, Jonathan Mc Donell, environ 1.900 satellites actifs tournent actuellement, autour de notre planète (1.100 en 2013). L'Union des scientifiques concernés, qui rassemble de nombreux chercheurs, avance, elle, le chiffre de 1.886 satellites. Selon les calculs de Mc Dowell, nous serions aussi entourés d'environ 17.000 satellites inactifs, étages de fusées et débris spatiaux. Heureusement que les satellites durent aujourd'hui bien plus longtemps qu'avant.
Mercredi 3 octobre 2018 :
Incroyable mais vrai ! Lors de son discours à l'Assemblée générale des Nations unies, à New York, la ministre des Affaires étrangères de l'Autriche, Karin Kneissl, élue à ce poste avec le soutien du parti d'extrême droite FPÖ, a commencé son discours en arabe. Une sortie diplomatique qui a fait le buzz sur les réseaux et surtout l'ensemble des chaînes d'infos dans le monde arabe. Ils se suffisent de si peu !
Pour elle, l'arabe est une belle langue, très importante, expliquant qu'elle l'a «étudiée au Liban pendant la guerre civile». D'après le site du ministère autrichien des Affaires étrangères, Karin Kneissl a enseigné, dans plusieurs établissements libanais. Elle a notamment, donné des cours de droit international, d'histoire du Moyen-Orient et d'histoire à l'Université Saint-Joseph de Beyrouth et au Centre international pour les Sciences humaines, à Byblos.
Dans son discours, la diplomate a souligné qu'elle a appris, au Liban, «comment les gens continuent à vivre malgré toutes les difficultés», estimant que se trouve là «le secret de la vie».
La ministre autrichienne a ensuite poursuivi son intervention en français et en anglais, citant notamment des phrases en latin et en hébreu.
Nommée en décembre 2017, sur proposition du parti d'extrême droite FPÖ, Karin Kneissl est une ministre des Affaires étrangères atypique. Diplômée de l'ENA, ex-diplomate, elle est considérée comme l'une des meilleures spécialistes européennes du Proche-Orient.
Sincérité ou opportunisme ou manipulation ? Tout simplement de la diplomatie positive... très payante puisque nous, «Arabes», nous en avons presque les larmes aux yeux, seulement parce qu'une diplomate étrangère a «baragouiné» une intervention dans «notre» langue. Heureusement qu'elle n'a pas mis un foulard sur la tête... Il est vrai que la loi autrichienne en vigueur depuis octobre 2017, interdit le «voile islamique intégral» (burqa ou niqab), dans les lieux publics sous peine d'amende.
Jeudi 4 octobre 2018 :
Entendu pour vous : «Ouled Fayet, c'est mieux que la Suisse». Ouled Fayet est une agglomération rurale algéroise devenue, avec le temps et les nouvelles constructions prises sur les terres, pour la plupart toutes agricoles et redistribuées… un lieu de vie «chic» et recherché.
Le maire, intervenant surune chaîne de télé algérienne off-shore, n'a pas hésité, à l'affirmer (et sur quel ton !), emporté face aux critiques de l'animateur, sur la gestion des communes face aux inondations, entre autres. Le ridicule politicien ne tue plus... en Algérie. Au contraire, il conforte les positions et les acquis. Ça ne fait plus pleurer et ça fait même rire un (petit) bout de temps.
Vendredi 5 octobre 2018 :
Abderrazak Makri, chef de file du MSP, avait reproché à Abdelkader Messahel une intervention à l'ONU, dans le cadre de la 73ème Assemblée générale, prononcée en langue française, et constituant, selon ses dires, «une offense et une atteinte» à la «souveraineté nationale», Or, il apparaît, clairement, que «lors de l'intervention officielle au nom de l'Algérie, Abdelkader Messahel est intervenu en langue nationale»... contrairement à certains chefs de délégations arabes qui ont effectué leurs interventions dans la langue de Shakespeare. Une vidéo l'atteste. Elle a, d'ailleurs, été postée sur la chaîne Youtube de l'ONU, doublée en anglais (normal !) mais dans son introduction, le MAE a commencé son discours en arabe et l'a poursuivi jusqu'à la fin.
Par contre, on a eu l'intervention en français du ministre Messahel à un deuxième événement consacré au 100ème anniversaire de la naissance de Nelson Mandela. Il se déroulait, quant à lui, devant un auditoire anglophone et francophone en marge de la 73ème AG de l'ONU, c'est-à-dire qu'il ne revêtait aucun caractère officiel. Confusion, des images ? Ignorance des mécanismes ? Mauvaise revue de presse ? Surenchère politicienne ? Ou, tout simplement, aveuglement culturel ? En tout cas, une «tempête» dans un verre d'eau...comme les aiment certains «politiciens»
Dimanche 7 octobre 2018 :
Où est passé le «soldat» Jamal Khashoggi. ? Agé de 60 ans, le journaliste saoudien en exil aux Etats-Unis, depuis 2017 collaborateur du ‘Washington Post' et décrit comme «un journaliste brillant, doté d'un esprit farouchement indépendant» - et opposant au pouvoir du roi Salmane d'Arabie saoudite (surtout aux façons de faire estimées autoritaristes des réformes entreprises et, surtout à l'intervention militaire de Ryad au Yémen : le 6 mars, il interrogeait, ainsi, dans un éditorial cosigné avec Robert Lacey dans le quotidien britannique ‘The Guardian': MBS «semble faire bouger le pays d'un extrémisme religieux d'une autre époque vers son propre extrémisme + Vous devez accepter mes réformes +, sans aucune consultation et avec des arrestations et des disparitions de ses détracteurs. Son programme ignore-t-il la plus importante des réformes, la démocratie ?» ) a... disparu depuis mardi 2 octobre. Il s'était rendu au consulat de son pays à Istanbul afin d'effectuer des formalités administratives en vue de son prochain mariage avec une Turque... Certains disent qu'il aurait été «tué»» au sein du consulat même... «par une équipe ( de 15 personnes dont un médecin légiste, ; ce qui est étonnant ) venue spécialement à Istanbul et repartie, dans la même journée», et Jamal n'a jamais quitté la représentation diplomatique comme l'affirme cette dernière. «D'après ce que j'ai compris, il est entré et est ressorti après quelques minutes ou une heure. Je ne suis pas sûr», a déclaré, dans un entretien, à l'agence ‘Bloomberg' publié vendredi, le prince héritier saoudien Mohammed ben Salmane. Et, «nous sommes prêts à permettre au gouvernement turc de venir fouiller nos locaux», a-t-il dit, ajoutant être «très soucieux de savoir ce qui lui est arrivé». Ces lieux sont «sous souveraineté saoudienne, mais nous les laisserons entrer et chercher et faire ce qu'ils veulent. (…) Nous n'avons rien à cacher». Bien sûr, l'ambassadeur saoudien à Ankara a été convoqué par le ministère turc des Affaires étrangères, mercredi, au sujet de la disparition de Jamal Khashoggi., et le procureur général d'Istanbul a annoncé, samedi, qu'une enquête judiciaire avait été ouverte pour faire la lumière sur cette affaire. Bien sûr, Les organisations de défense des droits de l'Homme ‘Human Rights Watch' (HRW) et ‘Amnesty International' ont, toutes les deux, mis en garde Ryad, affirmant que l'éventuelle détention du journaliste constituerait un cas de «disparition forcée». Entre-temps, Jamal Khashoggi reste introuvable...et, peut-être même que son corps, découpé en quinze petits morceaux, est quelque part enfoui sous les vastes sables d'Arabie. Souvenez-vous de Mehdi Ben Barka? Souvenez-vous de Abane Ramdane ? Souvenez-vous de Maurice Audin ?
L'Arabie saoudite figure à la 169 ème place sur 180 au classement mondial de la liberté de la presse, établi par ‘Reporters sans frontières' (RSF).
Lundi 8 octobre 2018 :
Le conflit Saïd Bouhadja, président FLN de l'APN - Députés de la majorité (FLN, Rnd, MPA, TAJ... et des Indépendants) commence à s'enliser et l' on a l'air de ne pas se diriger vers une issue heureuse pour l'institution. Il y a même risque de dérapages (manif du côté de Skikda d'où est originaire Bouhadja) et de fractures (du côté de l'ONM et des Anciens condamnés à mort qui soutiennent l'ancien moudjahid). Ce qui est absolument sûr, la tentative de déstabilisation de l'APN est un message «ravageur» pour toutes les Assemblées élues du pays. comme si les multiples et perpétuelles contestations au niveau (et dans ) des Apc, entre autres, ne suffisaient pas.
Partira ? Partira pas ? En fait, on veut le «démissionner» (comme cela s'était fait par le passé et comme cela se pratique dans les Assemblées «élues», sous-couvert du «pouvoir du peuple souverain»...et, aussi, de la rue à travers les «émeutes»), sous-couvert d'un «large» (?) retrait de confiance, alors que c'est bien, plutôt, un limogeage pur et simple accompagné d'accusations de mauvaise gestion, bien mal-venues de la part d'individus accusées par la presse et par la rue, de mille et une corruptions...sous couvert d'immunité parlementaire. Et, la presse, tout particulièrement les chaînes de télé privées off-shore, s'en donne à cœur joie avec des questions, des débats, des infos et de scenarii parfois farfelus et pour certains assez orientées. Et, même régionalistes et insultantes. Ce qui est sûr, c'est que l'option de la dissolution de l'institution a été, tout de suite, écartée bien qu'encore évoquée par les «cafés de commerce». Le «Pouvoir» ne peut pas se le permettre, car la campagne pour l'élection présidentielle a déjà commencé, les menus se préparent et les «couteaux sont tirés».
Mardi 9 octobre 2018 :
L'ambassadeur des Etats-Unis à Alger s'est déplacé au stade du 5 Juillet accompagné de son épouse, pour regarder le match qui a opposé les deux clubs algérois : le MCA et l'USMA. Dans les tribunes, les supporters étaient tous des hommes, les Algériennes évitant de se rendre dans cette arène où les règles de bienséance ne sont pas de mise.
On a déjà vu des ambassadeurs européens participer au nettoyage des nos plages... et faire de la plongée sous-marine... sans se mettre à harponner la faune marine. Une nouvelle et très belle leçon de savoir-vivre diplomatique inculquée par les diplomates étrangers, en poste à Alger. Qui ne se contentent pas des bureaux capitonnés et hautement sécurisés...et, pour les Américains, qui préfèrent s'informer, directement, auprès de la rue et non auprès de «gorges profondes» toujours mal-intentionnées ou intéressées.
Mercredi 10 octobre 2018 :
Effets collatéraux de la crise au sein de l'APN...et de l'approche de la présidentielle 2019. Quelque 300 «anciens élus du FLN» des deux chambres parlementaires...et des Collectivités locales, se sont réunis, samedi 6 octobre à la Safex, à Alger, dans le cadre «d'une réunion ouverte et fraternelle». Ouais, on les croit ! Il paraît que l'espace a été ouvert aussi à d'anciens walis militants du FLN. Objectif avoué de la future «Association» : «la concertation, et œuvrer à attirer les compétences dans le but de s'unir dans un cadre associatif organisé et efficace»... tout «en soutenannt le président de la République». D'ailleurs, un appel a été lancé au président Bouteflika «afin de poursuivre son œuvre à la tête du pays». Décidemment, dans ce pays on ne fait plus rien sans rien.
Parmi les présents à cette rencontre, on a remarqué la présnce de personnalités qui avaient pris leur distance avec le parti
Dans son intervention, Beda Mahdjoub, ministre chargé des relations avec le Parlement qui «chapeaute» l'initiative, en tant qu'ancien élu, a averti que l'espace dédié aux anciens élus ne prétend se substituer «à aucune organisation ou association», ajoutant que «cette nouvelle association sera mise au service de la Patrie».
Bedda Mahdjoub a salué les efforts du président «qui a rétabli la paix et la sécurité dans le pays». Il a souligné qu'il était important de rester soudé «autour de cet homme qui a tant apporté à l'Algérie et à l'humanité».
A suivre


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