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FAUTE D'AUTRE SOLUTION: Une famille cogite dans une cave
Publié dans Réflexion le 13 - 03 - 2011


Neuf familles ayant chacune entre 3 et 5 enfants à charge occupent une habitation collective dans le quartier dit ‘'les carrières'' situé à l'0uest de Tigditt. Parmi ces familles, Mme Mohamed Rabah Yamina, âgée de 57 ans, divorcée avec 2 enfants à charge. Cette dernière occupe une seule pièce, identique à une cave, qu'elle partage avec ses deux filles âgées respectivement de 18 et 19 ans. Après avoir galéré d'une habitation collective à une autre, elle a fini par atterrir au quartier ‘'les carrières'' où le loyer est moins cher qu'ailleurs, bien que les conditions d'hygiène et de salubrité sont en deçà de la moyenne acceptable. Le soleil n'y entre presque pas et où l'odeur de moisissure, due au taux élevé d'humidité, envahit la pièce à longueur d'année. L'une de ses filles, une malade chronique, éprouve des difficultés à respirer dès qu'elle se trouve à l'intérieur de la pièce. Les deux filles, l'une universitaire et l'autre lycéenne, ont du mal à poursuivre leur scolarité parce qu'elles éprouvent, toutes les deux, des difficultés à faire leur devoirs à la maison compte tenu de l'exiguïté de la pièce qui sert à la fois de cuisine, de lieu où dormir et de salle de séjour, quand il arrive à leur maman de recevoir des invités, ce qui est rare d'ailleurs. Dans cette habitation collective (type haouch) les 9 familles se partagent la même cour pour la lessive et la vaisselle ainsi que l'unique W.C. Telles sont les conditions dans lesquelles se trouvent ces familles démunies. De nos jours, rares sont les familles qui acceptent de vivre dans des habitations collectives, en raison de la promiscuité et surtout du manque du minimum de confort, sauf celles qui n'ont pas d'autres solutions à portée de leurs mains, comme c'est le cas de Mme M. Rabah Yamina qui depuis 1994 ne cesse d'écrire et constituer des dossiers de demande de logement. Abandonnée par son mari, bien avant l'obtention de son divorce, elle a frappé à toutes les portes mais en vain. Elle a adressé plus d'une dizaine de lettres entre 1994 et 2011 à savoir : 6 à M. le wali, 5 à M. le chef de daïra et 4 au FNPOS (dont un recours). Elle a, par ailleurs, déposé 3 dossiers de demande de logement : le premier en 1992 n° : 654/92 auprès de l'OPGI de Mostaganem, le second le 06.01.2002 n° : 1049/02 auprès de l'APC de Mostaganem, service du logement et enfin le troisième en 2007 n° : 468/07 auprès de la wilaya de Mostaganem (demande de recours). Aucune suite ne lui a été réservée. Ne sachant plus que faire ni à qui s'adresser, puisqu'à ce jour elle n'a pas vu venir la moindre lueur d'espoir, Mme M. Rabah interpelle M. le Wali pour qu'il soit mis fin à son calvaire et afin que ses deux filles puissent vivre dans un logement digne de ce nom et où elles pourront vivre en toute quiétude et poursuivre leur scolarité.

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