Le Secrétaire général de l`Union de la jeunesse de Saguia El Hamra et Rio de Oro (UJSARIO), membre du Secrétariat général du Front Polisario, Mohamed Saïd Daddi, a appelé lundi, la direction des jeunes socialistes européens à faire pression sur leurs Etats et sur la Commission de l'Union européenne (UE) pour se conformer à la décision rendue, fin février dernier, par la Cour de justice européenne (CJUE) sur l'accord de pêche conclu entre l'UE et le Maroc. Dans un message adressé au président des jeunes socialistes européens, Joao Duarte Albuquerque, le SG de l'UJSARIO, Mohamed Saïd Daddi a rappelé que l'arrêt de la CJUE "a prouvé sans équivoque que le territoire du Sahara Occidental ne fait pas partie du Maroc," et partant, tout accord conclu entre l'UE et le Maroc est considéré "comme illégal s'il inclut le Sahara Occidental ou ses eaux territoriales". Il a ajouté, dans ce cadre, que cette décision de justice est venue "compléter une décision précédente" rendue par la même cour, fin décembre 2016, sur l'accord de libre échange entre l'UE et le Maroc, et qui confirme que le Sahara Occidental est "un territoire distinct et autonome" du Maroc et que, de ce fait, les accords bilatéraux entre le Maroc et ses partenaires étrangers, soit l'UE ou autre, ne doivent pas être appliqués sur le Sahara Occidental. La persistance dans le non-respect des décisions de la CJUE est à même de porter atteinte à la crédibilité de l'UE et à son engagement quant au respect de la primauté de la loi, lit-t-on dans le message. Mohamed Saïd Daddi, a appelé l'Organisation des jeunes sahraouis européens à plaider en faveur des droits et intérêts du peuple du Sahara Occidental, dernière colonie dans le continent noir, faire prévaloir l'importance de respecter la primauté de la loi, l'exhortant par là même à prendre des étapes sérieuses en direction d'une nouvelle politique européenne vis-à-vis du conflit au Sahara Occidental pour une solution démocratique, juste et durable pour le conflit qui n'a que trop duré. Mohamed Saïd Daddi a exhorté l'organisation des jeunes socialistes européens à faire pression sur le Commission de l'UE pour attirer son attention quant à la nécessité de se soumettre aux décisions de la CJUE concernant le Sahara Occidental, prendre les mesures nécessaires pour s'assurer du "retrait immédiat" de tous les navires de pêche européens activant illégalement dans les eaux territoriales". Mohamed Saïd Daddi a exiger de la Commission européenne l'arrêt de son implication illégale dans l'exploitation des richesses naturelles du Sahara Occidental et son soutien financier au Maroc et qui "le conforte dans son occupation illégale du Sahara Occidental et contribue ainsi à prolonger les souffrances de plus de 173.000 citoyens sahraouis vivant, plus de 43 année, dans les camps de réfugiés". Mohamed Saïd Daddi a appelé les organisations progressistes, à l'image de l'Organisation des jeunes socialistes européens à interpeller l'UE et exhorter ses dirigeants à appuyer une solution globale au Sahara Occidental, à travers le processus de règlement que supervise l'Organisation des Nations Unies (ONU). Mohamed Saïd Daddi a affirmé que l'UJSARIO "n'a pas encore vu de signaux réels reflétant l'intention de l'UE et de ses pays membres à prendre les mesures nécessaires pour s'assurer que les accords actuels et futurs entre l'UE et le Maroc n'incluent pas le Sahara Occidental ou ses eaux territoriales". Le Front Polisario, seul et unique représentant légitime du peuple du Sahara Occidental, s'était félicité de la décision de la CJUE et réaffirmé sa disponibilité à des négociations directes avec la commission de l'UE pour l'établissement d'un cadre juridique pour les relations bilatérales et commerciales au Sahara Occidental, a rappelé le SG de l'UJSARIO. Dans un message adressé au président des jeunes socialistes européens, Joao Duarte Albuquerque, le SG de l'UJSARIO, Mohamed Saïd Daddi a rappelé que l'arrêt de la CJUE "a prouvé sans équivoque que le territoire du Sahara Occidental ne fait pas partie du Maroc," et partant, tout accord conclu entre l'UE et le Maroc est considéré "comme illégal s'il inclut le Sahara Occidental ou ses eaux territoriales". Il a ajouté, dans ce cadre, que cette décision de justice est venue "compléter une décision précédente" rendue par la même cour, fin décembre 2016, sur l'accord de libre échange entre l'UE et le Maroc, et qui confirme que le Sahara Occidental est "un territoire distinct et autonome" du Maroc et que, de ce fait, les accords bilatéraux entre le Maroc et ses partenaires étrangers, soit l'UE ou autre, ne doivent pas être appliqués sur le Sahara Occidental. La persistance dans le non-respect des décisions de la CJUE est à même de porter atteinte à la crédibilité de l'UE et à son engagement quant au respect de la primauté de la loi, lit-t-on dans le message. Mohamed Saïd Daddi, a appelé l'Organisation des jeunes sahraouis européens à plaider en faveur des droits et intérêts du peuple du Sahara Occidental, dernière colonie dans le continent noir, faire prévaloir l'importance de respecter la primauté de la loi, l'exhortant par là même à prendre des étapes sérieuses en direction d'une nouvelle politique européenne vis-à-vis du conflit au Sahara Occidental pour une solution démocratique, juste et durable pour le conflit qui n'a que trop duré. Mohamed Saïd Daddi a exhorté l'organisation des jeunes socialistes européens à faire pression sur le Commission de l'UE pour attirer son attention quant à la nécessité de se soumettre aux décisions de la CJUE concernant le Sahara Occidental, prendre les mesures nécessaires pour s'assurer du "retrait immédiat" de tous les navires de pêche européens activant illégalement dans les eaux territoriales". Mohamed Saïd Daddi a exiger de la Commission européenne l'arrêt de son implication illégale dans l'exploitation des richesses naturelles du Sahara Occidental et son soutien financier au Maroc et qui "le conforte dans son occupation illégale du Sahara Occidental et contribue ainsi à prolonger les souffrances de plus de 173.000 citoyens sahraouis vivant, plus de 43 année, dans les camps de réfugiés". Mohamed Saïd Daddi a appelé les organisations progressistes, à l'image de l'Organisation des jeunes socialistes européens à interpeller l'UE et exhorter ses dirigeants à appuyer une solution globale au Sahara Occidental, à travers le processus de règlement que supervise l'Organisation des Nations Unies (ONU). Mohamed Saïd Daddi a affirmé que l'UJSARIO "n'a pas encore vu de signaux réels reflétant l'intention de l'UE et de ses pays membres à prendre les mesures nécessaires pour s'assurer que les accords actuels et futurs entre l'UE et le Maroc n'incluent pas le Sahara Occidental ou ses eaux territoriales". Le Front Polisario, seul et unique représentant légitime du peuple du Sahara Occidental, s'était félicité de la décision de la CJUE et réaffirmé sa disponibilité à des négociations directes avec la commission de l'UE pour l'établissement d'un cadre juridique pour les relations bilatérales et commerciales au Sahara Occidental, a rappelé le SG de l'UJSARIO.