440 agents de la Protection civile mobilisés sur les plages Quatre cent quarante (440) éléments de la Protection civile sont mobilisés depuis le démarrage de la saison estivale pour veiller à la sécurité des baigneurs au niveau des plages. Ils sont composés de médecins, plongeurs et surveillants des baignades. En plus des postes de secours implantés sur les plages, lesquelles enregistrent une forte affluence d'estivants, le dispositif d'intervention de la Protection civile a prévu, dans ce cadre, 7 ambulances réservées exclusivement à couvrir le littoral. Pour rappel, aucun cas de noyade n'a été relevé durant la saison estivale 2008. Par ailleurs, les mêmes services viennent de se doter, au titre de l'exercice 2009, de 9 camions et de 17 ambulances. Plus de 1 000 puits traités Des puits, au nombre de 1 199 sur les 92 785 recensés, ont été traités dans le cadre de la prévention contre les maladies à transmission hydrique (MTH), sachant que les risques de celles-ci augmentent en période de grandes chaleurs. Cette opération vient en application d'une instruction du ministère de la Santé, parue en 2008, qui prévoit un contrôle rigoureux et permanent de la qualité de l'eau. Entre autres mesures de prévention des pathologies d'été, la lutte contre les moustiques. Celle-ci s'est traduite, jusque-là, par la vidange de 400 caves sur les 1 500 recensées. Sont également ciblés les animaux errants qui ont été à l'origine de 1 778 morsures de personnes, selon les derniers chiffres livrés par la direction de la santé ; 90% de ces morsures proviennent de chiens. La vaccination des sujets atteints a nécessité près de 4 MDA (millions). 4,9 milliards de dinars pour la station d'épuration Le projet de la station de traitement et d'épuration des eaux usées, en cours de réalisation dans la localité de Lallelick (El Bouni), devra contribuer de manière substantielle à l'amélioration des superficies agricoles irriguées. Les services de l'hydraulique tablent, dans ce cadre, sur un objectif de 84 000 ha. Ce qui permettra de donner un nouvel élan aux productions agricoles en stagnation depuis de longues années. D'un coût de 4, 9 milliards de dinars, ce projet, initialement prévu à Sidi Salem, prendra en charge le traitement et le recyclage des eaux usées domestiques et industrielles en provenance des agglomérations du Grand Annaba (El Bouni, Annaba, El Hadjar et Sidi Amar). Les sources de pollution, terrestre et marine, vont être ainsi combattues à la faveur de cet important ouvrage, laisse t-on entendre.
