Nous sommes obligés d'attendre les bus qui ne font que transiter. Il arrive souvent que ces bus ne s'arrêtent pas. Nous nous rabattons alors sur les taxis clandestins qui nous imposent des prix exorbitant», confie un habitant. Signalons également que la localité est dépourvue d'un arrêt de bus. Les voyageurs doivent attendre les bus sur le bas-côté de la route. «Il n'y a pas d'arrêt de bus, ce qui nous oblige à attendre sous la pluie ou sous un soleil de plomb», déplore un habitant. D'autres localités de l'est de la capitale connaissent la même situation, à l'instar de Haouch Souachet, ou encore du chef-lieu de la commune d'El Marsa. Les habitants de cette commune souffrent énormément de l'absence de transport. «Aucun bus ne dessert notre commune. Pour rejoindre nos lieux de travail, nous sommes obligés de sortir du chef-lieu. Le premier arrêt de bus se trouve à plus d'un kilomètre», déplorent les habitants.