Le P/APW répond aux élus FLN-RND « Je considère que cette action s'inscrit dans le cadre de la pratique démocratique au sein de notre instance, ni plus, ni moins », a répondu le P/APW à une question relative au communiqué signé par des élus FLN-RND lui reprochant d'avoir « permis » qu'un élu (FNA) de l'opposition remporte le siège du Sénat à Tindouf. Pour rappel, se voyant refuser la lecture de ce communiqué avant l'adoption de l'ordre du jour de la 4ème session APW 2009, douze élus, sur les 18 que comptent les 2 partis, ont boycotté les travaux qui ont débuté lundi passé. Les signataires s'interrogent sur les raisons qui ont poussé le MSP, parti de la coalition présidentielle dont est issu le P/APW, à ne pas soutenir un des candidats de cette coalition. De nouvelles structures pour la santé 3 nouveaux services seront réalisés à l'hopital mixte Si El Haouès de Tindouf. La structure réservée au service des urgences médico-chirurgicales, aménagée devant l'entrée principale, s'étale sur une superficie de 1673 m2. Lancés en mai 2008, pour un délai de 21 mois, les travaux ont atteint un taux d'avancement de 80% en janvier passé. Pour le deuxième service, celui de l'imagerie médicale, la structure s'étale sur 749 m2. Lancée en décembre 2008, pour un délai de 15 mois, elle était à 65% de sa réalisation en janvier également. Et le centre de transfusion sanguine occupera une superficie de 1157 m2. Les travaux entrepris en mars 2009, pour un délai de 16 mois, enregistraient un taux d'avancement de 45% en ce début d'année. Une rumeur met la ville en veille La presque totalité des magasins avaient baissé rideaux par crainte d'une soi-disant équipe de contrôleurs venue d'Alger. Les consommateurs, contraints à « juguler » leurs besoins et à les reporter à plus tard, n'arrêtaient pas de pester contre cet état de fait. Beaucoup pensaient à une grève des commerçants consécutive au nouveau code du commerce. Ceux qui avaient entendu parler des « contrôleurs de la capitale » ne se sont pas empêchés de dire que les commerçants doivent avoir beaucoup de choses à se reprocher. Ces derniers, qui n'étaient pas bien loin de leurs boutiques cadenassées, se justifiaient en avançant le nouveau tarif exorbitant des contraventions : « 30 millions pour non affichage des prix, 50 pour défaut de factures », et précise-t-on.