Reprise des négociations de l'accord de 1968 Le président Abdelaziz Bouteflika a donné son accord pour la reprise des négociations sur l'accord de 1968 sur la circulation des personnes entre l'Algérie et la France, après avoir reçu Claude Guéant, secrétaire général de la présidence française, en visite à Alger dimanche. C'est ce qu'a annoncé mardi soir au Centre culturel français (CCF) à Alger, Jacques Toubon, président de la Cité nationale de l'histoire de l'immigration. Les Verts rentrent bredouilles L'Algérie a quitté la Coupe du monde sans avoir marqué un seul but en trois matches. La dernière rencontre a eu lieu mercredi au Loftus Versfeld Stadium de Pretoria, où l'équipe nationale a joué et perdu son troisième match (1-0) face à l'équipe des Etats-Unis d'Amérique. Vers une réconciliation à Berriane Un accord pour traduire dans les faits une feuille de route négociée entre les représentants des populations de Berriane sera signé avant la fin juin, a annoncé mardi le wali de Ghardaïa. « Cet accord engagera les parties impliquées dans une réconciliation et une cohabitation durable dans un climat fraternel et citoyen », a-t-il précisé. Le procès en appel du thon rouge reporté Le procès en appel de l'affaire de la pêche illicite de 210 tonnes de thon rouge, dans les eaux territoriales algériennes, a été ajourné mercredi au 7 juillet prochain par la cour de justice de Annaba, à la demande de la défense. Peine capitale pour El Para et son lieutenant L'affaire Abderrazak El Para a été traitée mardi par le tribunal criminel près la cour de Batna. L'émir El Para, alias Ammari Saïfi, ainsi que son lieutenant ont été jugés par contumace, pour avoir pris part à deux opérations terroristes menées par seriet Chlaâlaâ, conduite par Abdelaâli Yahiaoui, dans le maquis des Aurès. Emeutes à Annaba Des manifestations ont secoué, samedi, la cité Sidi Salem, dans la commune d'El Bouni, à Annaba. Durant plusieurs heures, des centaines de personnes ont investi la voie publique, dressé des barrages sur l'autoroute, manifestant leur colère en raison des retards accusés dans le recasement des familles du quartier appelé communément « La SAS ».
