La station principale de transport urbain de Birkhadem est un véritable point noir à la circulation automobile. Située à la croisée des chemins, elle est le point de rencontre de plusieurs axes routiers. Tous les automobilistes se rencontrent à l'entrée de la station d'où fusent d'interminables klaxons assourdissants. De longues files de véhicules se forment tout autour d'elle. Les centaines de conducteurs, qui quittent l'autoroute Alger-Blida pour se rendre à Ben Aknoun ou à El Achour, en sont les premières victimes. Les bus venant de la localité de Birtouta, à titre d'exemple, se vident de leurs usagers avant même d'atteindre la station. Le mouvement des piétonniers, en conséquence, gêne beaucoup la circulation. Le constat est presque le même du côté de l'avenue, à double sens, des Frères Mohand Kaci qui longe la station de transport et qui donne directement sur le centre-ville de Birkhadem. De plus, aucun agent n'est présent sur les lieux, notamment au-dessous du pont de l'autoroute, pour réglementer un tant soit peu la circulation qui constitue un calvaire pour tous.
