Cinq thèmes ont été programmés par les organisateurs pour étaler les résultats de recherches effectuées par des spécialistes du monde entier. L'objectif de cette rencontre était, entre autres, de «permettre aux scientifiques, universitaires et autres industriels de présenter leurs derniers résultats de recherche et des activités de développement dans les domaines de la catalyse, la pétrochimie, les énergies propres et tous les matériaux utiles et produits chimiques développés dans l'esprit de la chimie verte», ont explicité les organisateurs. Organisé par l'université Abou Bekr Belkaïd et la Direction de la recherche scientifique et technique, en collaboration avec Sonatrach et Sonelgaz, le colloque international sur la catalyse et la synthèse en chimie organique, en présence de chercheurs et d'experts de plusieurs pays du monde (Allemagne, France, Belgique, Espagne, Russie, les USA et de professeurs et spécialistes nationaux) se voulait une opportunité pour les différents intervenants de confronter leurs idées, d'étaler les résultats de leurs recherches et pérenniser le développement des innovations et les choix technologiques industrialisés… Les travaux étaient axés sur cinq ateliers: catalyse sur les énergies propres, catalyse et pétrochimie, intermédiaires en chimie verte, nanomatériaux en catalyse, catalyse pour la chimie fine et les produits pharmaceutiques… Les différents conférenciers, qui se sont relayés, quoique très peu accessibles au vu des débats techniques, ont tenté quelque peu de vulgariser des notions scientifiques dont dépend l'avenir des pays.
