-Marché de Réghaïa : Absence de normes de sécurité A Réghaïa, le marché de fruits et légumes qui se trouve aux abords de la gare ferroviaire ne répond à aucune norme de sécurité. Il y a quelques semaines, un incendie qui s'est déclaré à l'intérieur de cet espace commercial a failli ravager tout le marché. Plusieurs étals ont été détruits par le feu. Depuis la survenue de cet incident, les autorités locales ne se sont pas préoccupées de revoir le plan de sécurité du marché. En l'absence d'extincteurs et de couloirs d'évacuation, le marché présente un danger avéré sur la vie des commerçants qui y travaillent. En somme, le marché n'est autre qu'un immense bidonville où les étals sont faits de bois et de tôle. «Nous nous acquittons mensuellement des charges, mais en contrepartie aucune amélioration n'est constatée au niveau du marché. Nous continuons à exercer dans des conditions lamentables», déplorent des marchands d'habillement, dont les étals ont été miraculeusement épargnés par le feu. -Localité d'El Hamiz : L'entrée de la ville pleine d'excavations L'état de la route principale qui mène de la RN24 au Hamiz est déplorable. Les automobilistes doivent franchir des trous et des excavations sur toute la route. Rappelons que plusieurs routes et venelles de la localité ont été bitumées, seule l'entrée de la ville n'a pas été refaite. «Toutes les routes du Hamiz ont été refaites, hormis cette route qui a pourtant une importance capitale», déplorent des habitants qui lancent un appel aux responsables locaux afin qu'ils se penchent sur ce problème. «Durant la saison hivernale, la route devient impraticable, les trous se remplissent d'eau de pluie et il est impossible de les voir. Il arrive que des automobilistes endommagent leur voiture dans ces mares d'eau. Les responsables locaux sont appelés à prendre en charge ce tronçon de route, d'autant plus que la distance n'est pas grande», affirment-ils. Cette route est aussi dégradée au lieudit l'Artisanat, où les excavations et les trous ponctuent toute la surface de la route.
