Un incendie s'est déclaré, lundi après-midi, dans l'établissement public hospitalier d'In Amenas. L'incendie n'a pas fait de victimes, mais a causé des dégâts matériels, a-t-on appris auprès des services de la wilaya d'Illizi. Le feu a d'abord pris dans une des chambres du célibatorium réservé à l'hébergement du personnel de l'hôpital, avant de se propager à l'ensemble du pavillon conçu en préfabriqué, ainsi qu'à une partie du bloc réservé aux médecins, a précisé un cadre de l'hôpital, témoin du sinistre. Les flammes se sont également étendues à la pharmacie et au magasin de stock de médicaments de l'hôpital, a-t-il ajouté. Les éléments de la Protection civile, appuyés par des citoyens résidant à proximité de l'hôpital, sont aussitôt intervenus pour circonscrire l'incendie, selon la même source, qui ajoute qu'un court-circuit serait probablement à l'origine du sinistre. Saisie de clés «haut de gamme» à Sétif
Les douaniers en faction à l'aéroport du 8 Mai 1945 de Sétif ont saisi, dimanche dernier, un pack de 42 clés ouvrant aussi facilement des véhicules haut de gamme (Audi, BMW et Volkswagen) qui n'échappent plus à la convoitise des voleurs. Le fameux «kit» était, nous dit-on, dissimulé dans les bagages d'un Franco-Algérien qui avait auparavant fait Paris-Sétif. En plus de la saisie du matériel, le dossier a été, nous dit-on, transmis au parquet de Sétif pour un complément d'enquête, lequel devrait probablement démasquer les ramifications d'une affaire qui pourrait impliquer d'autres complices qui ne sont jamais à court d'idées. L'Enacta sonne dans le vide
Pour avoir des informations concernant le contrôle technique périodique de leur véhicule et ne pouvant échapper à un test obligatoire, des automobilistes dans l'obligation de passer une fois par an par les agences de contrôle réparties à travers les quatre coins du territoire national ne sont pas du tout «servis». En effet, les numéros de téléphone mis à leur disposition par l'Etablissement national du contrôle technique automobile (Enacta), placé sous l'égide du ministère des Transports, sonnent dans le vide. L'automobiliste a beau former et reformer les numéros de téléphone, point de répondant du préposé au standard inscrit aux abonnés absents… Un militaire tue son collègue et en blesse deux autres
Un militaire âgé de 23 ans a ouvert le feu, hier, en direction de ses collègues dans une caserne de l'Armée nationale populaire (ANP) à Sidi Ali Benyoub, tuant l'un deux et blessant grièvement deux autres. Selon des sources sécuritaires, le drame s'est produit vers 6h dans une des chambres de la caserne de Sidi Ali Benyoub, localité située à 25 km au sud de Sidi Bel Abbès. Le militaire a tiré plusieurs coups de feu avec une kalachnikov sur ses collègues avant d'être neutralisé. Les deux blessés, dans un état jugé grave, ont été transférés vers l'hôpital militaire d'Oran. Les circonstances et les raisons de cet acte ne sont pas connues, précisent ces mêmes sources.
