Alors que la ville de Chlef manque cruellement d'équipements publics, un terrain de plus de 02 hectares est laissé à l'abandon au sein de l'ex-siège de l'ERIAD, à l'entrée est de l'agglomération. Il s'agit de l'espace dégagé après la démolition, il y a plusieurs années, de la minoterie ayant subi des dommages lors du séisme de 1980. Selon les informations en notre possession, ledit terrain, entouré d'une autre unité de production à l'arrêt et d'autres biens de l'entreprise dissoute, a été intégré dans les réserves foncières urbaines en 2012. Il devait donc être affecté à la réalisation d'équipements publics (centre commercial, parking à étages, centre de santé, centre culturel, etc.). Or, il est le seul qui est resté en jachère depuis presque une décennie, suscitant moult interrogations. Alors, qu'est-ce qui empêche les pouvoirs publics de réserver ce terrain aux projets sus cités ?