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D'ici et d'ailleurs : La femme bambara l'aiguille et le fil
Publié dans Horizons le 01 - 03 - 2010


Les Bambaras, tribus d'Afrique que l'on retrouve au Mali en passant par la Côte d'Ivoire, la Mauritanie, le Niger jusqu'au Sénégal, font du rôle de la femme le ciment de la société et de la famille. A tel point, et pour ne pas déstabiliser la cohésion sociale au sein d'une même tribu ou clan, le divorce n'existe pas ou exceptionnellement. Un dicton africain parle de la femme bambara comme étant «l'aiguille et le fil qui cousent», adage intense dans une société essentiellement agraire où la place de la femme est considérée comme rassembleur. Educatrice, gardienne des traditions et des valeurs, la femme bambara assure la pérennité de la société. Le mariage qui est la base de toute continuité dans les sociétés est l'affaire des parents et doit se concrétiser au sein des familles alliées. Le jeune homme ne doit choisir, si le choix lui est permis, que dans une famille unie à sa tribu. Ainsi, la dot revenant à la fiancée doit compenser le départ d'une aide précieuse au sein de la famille de cette dernière et le retrait d'un acteur économique indispensable. Entre autres tâches, elle cultive les champs qui lui permettent d'assurer ses propres revenus et acquérir des animaux domestiques, acheter des bijoux tout en garantissant un surplus à son foyer. Le costume de la femme bambara est composé d'un pagne, ouvert sur les côtés, avec un boubou. Les coiffures des femmes sont variées, mais en général, comme les hommes, elles portent le cimier, coiffure agrémentée de postiches en fibres végétales, de plumes d'oiseaux, de peaux, de fourrures ou de cornes. Elles se percent le nez pour y ajouter un anneau d'or, d'argent ou de cuivre. Aux oreilles se trouvent de grosses boucles d'or, au cou de nombreux colliers, ainsi que de nombreux bracelets aux poignets et aux chevilles.La pratique de la scarification est incontournable. Hommes comme femmes se font faire trois balafres de chaque côté des joues. Signe distinctif de leurs origines.

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