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Séismes, tempêtes, remontées d'eaux…
Comment s'en prémunir
Publié dans Info Soir le 22 - 10 - 2009

Réalité n Notre pays est exposé à certains risques majeurs. C'est pourquoi il a été décidé, lors du Conseil des ministres, de créer une agence de l'urbanisme pour une meilleure gestion de ces risques et pour une meilleure urbanisation.
«La prévention des risques majeurs est non seulement multidisciplinaire, mais également intersectorielle», a indiqué ce matin sur les ondes de la chaîne III, le directeur du Centre national de recherches en génie parasismique, Mohamed Belazougui.
Selon lui, chaque région est soumise à un certain nombre de risques. au sud, par exemple, il n'y a pas de risques sismiques, mais il y a les risques de tempêtes de sable, remontées des eaux agressives. Et là où il y a des failles sismiques, comme dans le nord, il y a des risques de séismes. «Ainsi, il faut mettre en place des plans nationaux par type de risques, et surtout des plans au niveau local», a-t-il recommandé. «Ces plans doivent exister au niveau local, en fonction des risques.
Il faut qu'il y ait un plan de prévention qui consiste à agir avant que l'événement n'arrive, en plus d'un plan d'intervention», a-t-il ajouté.
Une loi relative aux risques majeurs et gestion des catastrophes dans le cadre du développement durable a été adoptée le 25 décembre 2004. Toutefois, les textes d'application ne sont pas encore mis en place, cinq ans plus tard. «Il est absolument indispensable que cette loi, qui est un acquis extraordinaire pour notre pays, ayant tiré les leçons des expériences des séismes de Boumerdès en 2003 et d'El-Asnam en 1880, soit mise en application», a indiqué M. Belazougui. Selon lui, cette loi est excellente et exhaustive sur tout ce qu'il faut faire du point de vue prévention et système d'alerte y compris dans les zones industrielles. C'est pourquoi, il est nécessaire aujourd'hui de l'appliquer, soutient l'intervenant. «Personne n'est censé ignorer cette loi. toutefois, personne ne se sent responsable pour la mettre en application, car il n'y a pas cette structure d'impulsion pour appeler chacun à ce qu'il doit faire à une période de temps déterminée», a-t-il regretté. Ce qui a manqué pour l'application de la politique nationale en matière de risques majeurs, c'est une structure de coordination intersectorielle, a-t-il estimé.
«Il doit y avoir une structure centrale de coordination intersectorielle pour pouvoir non seulement inciter à la mise en œuvre des différents volets de la loi, mais accompagner cette mise en œuvre qu'il y ait des plans d'intervention et de prévention sectorielle au niveau national par type de risque et des plans de prévention au niveau local (wilayas et communes).» Rappelant qu'après les recommandations qui ont été faites au gouvernement après les séismes d'El-Asnam en 1980, d'où est issue la politique nationale édictée en 1985, il a été prévu une structure de coordination qui devait consister à l'époque en un secrétariat d'Etat aux risques majeurs, qui n'a pas été instauré. Par la suite, il y a eu des propositions pour la mise en place d'une structure de moindre niveau administratif.


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