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Ainsi va la vie
Comme un parfum de trahison (24e partie)
Publié dans Info Soir le 23 - 03 - 2011

Résumé de la 23e partie n Nadjet est mise en quarantaine par sa famille : même sa jeune sœur est forcée de quitter la chambre qu'elle partage avec elle.
Voilà une dizaine de jours que plus personne ne lui parle. Elle résiste encore à la pression, mais elle ne sait pas si elle tiendra encore longtemps.
A table, elle continue à manger en famille mais plus personne ne lui parle. Elle se sert seule et quand son père ou sa mère boit et qu'elle leur dit à votre santé, comme on le fait habituellement, personne ne lui répond. Elle a l'impression d'être une intruse et plus d'une fois, elle a eu envie de quitter la table, sans manger.
Un jour, elle ne s'est pas mise à table avec les autres, pensant que quelqu'un viendrait la chercher, mais il n'en fut rien, on a mangé sans elle. Et comme elle avait faim, elle est allée à la cuisine, prendre ce qu'il restait.
Un chien serait mieux traité. Mais la jeune fille a compris que la mise en quarantaine durerait tant qu'elle refuserait d'épouser son cousin.
De toute façon, l'espoir d'épouser Salim s'est envolé… Même si on accepte, un jour, son choix : ne pas épouser Rabah, on ne la laisserait jamais épouser son ami.
Salim continue à lui envoyer des messages auxquels elle répond, toujours par l'intermédiaire de son jeune frère, Nadjib qui vient à l'université.
Salim lui demande toujours de «tenir» comme s'il devinait les pressions auxquelles elle était soumise.
«Ne t'inquiète pas, l'épreuve prendra fin et je serai de retour… Alors nous pourrons envisager l'avenir… Un avenir que je te promets radieux !»
Une autre fois, il lui écrit :
«Et si j'envoyais ma mère demander ta main ? Juste pour que d'autres ne viennent pas avant moi !»
Elle lui répond, affolée.
«C'est une chose à ne pas faire… Mes parents doivent oublier que tu es en prison. Attends d'en sortir.»
Cette réponse lui fait mal.
«Tes parents oublient-ils que c'est pour te protéger que j'ai été envoyé en prison ? Ils devraient réfléchir à ce qui se serait passé si je ne m'étais pas battu…»
Il a raison, mais que peut-elle faire ? Et s'il apprenait alors que ses parents lui interdisent de l'épouser ? Que dirait-il si elle lui apprenait qu'on veut la forcer à épouser son cousin ? et que, parce qu'elle résiste, elle est mise en quarantaine ?
«Tu dois patienter, lui répond-elle, tu ne dois rien faire qui irrite mes parents… quand tu sortiras de prison, nous verrons ce qu'il y a lieu de faire.»
«Moi, écrit-il, je sais ce qu'il faut faire : demander ta main, t'épouser… Tu me reviens de droit ! Personne ne pourra t'enlever à moi… Personne, tu entends ? Tout ce dont j'ai besoin, c'est ton soutien et ton amour…»
Elle pleure en lisant et en relisant cette lettre. Elle ne sait plus quoi lui dire…
Et sa famille qui refuse toujours de lui parler ! (A suivre...)


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