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Ainsi va la vie : Les aléas d'un mariage 2e partie
Publié dans Info Soir le 13 - 08 - 2016

Résumé de la 1re Partie n Ratiba, 22 ans, accepte d'épouser Djalal un jeune homme de 28 ans. La particularité du jeune homme est qu'il a été le seul à demander sa main.
Dans un premier temps Ratiba habita chez ses beaux-parents. Elle avait la paix, surtout que les deux frères ainés de Djalal habitaient chacun dans son propre appartement. Deux années s'écoulèrent.
Deux années de vie conjugale qui permirent à Ratiba de se dire qu'elle n'avait pas eu tort d'épouser Djalal qui s'avéra un bon époux et un bon père.
Entre temps, le couple avait conçu un petit garçon avec lequel Djalal passait le plus clair de son temps lorsqu'il rentrait de son travail alors qu'auparavant c'était la télévision son unique passe-temps.
Et puis brusquement, la vie de Ratiba bascula lorsque son beau-père mourut à la suite d'une violente crise cardiaque.
Cette mort avait complètement abattu Djalal qui n'imaginait pas la vie sans son père. Son rythme de travail baissa considérablement. Il évitait les gros travaux, n'acceptant que les broutilles qui lui permettaient juste de faire face aux dépenses familiales.
Il était si mal en point que c'était dans l'indifférence la plus totale qu'il accueillit la naissance de son deuxième fils. Et ce n'était pas fini.
Au bout de quatre mois, la mère de Djalal mourut à son tour à la suite d'une crise d'asthme qui l'avait surprise en plein sommeil.
Les parents de Ratiba s'attendaient à ce que leur fille mène désormais une vie tranquille avec son mari et leurs deux enfants en bas âge. Mais ils s'étaient trompés.
Djalal, après la perte de sa mère allait devenir un autre homme et Ratiba se demandera chaque jour, chaque soir ce qu'il lui avait pris de lier son destin à celui d'un homme qui allait s'avérer instable et imprévisible.
Pourtant Djalal avait été gâté par le destin qui lui avait donné deux frères qui ignoraient la cupidité et la convoitise. A aucun moment, ils n'avaient exprimé une quelconque prétention au sujet de l'appartement de leur père et dans lequel ils auraient pu prétendre à une part. Il en fut de même concernant la Peugeot 405 de leur défunt père qui lui revint alors.
Il ne restait plus à la jeune mère de famille qu'à extirper son époux du deuil profondément maladif dans lequel il s'enfonçait chaque jour un peu plus.
Mais elle n'y parvint pas. Djalal trouvait injuste que ses parents meurent alors que tant d'autres gens étaient toujours en vie. Il décida de ne plus sortir de la maison alors que son téléphone portable n'arrêtait pas de sonner. Tania Hamadi


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