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Criminels de légende : Tueurs en série
L?étrangleur de Boston (17e partie)
Publié dans Info Soir le 30 - 05 - 2005

Résumé de la 16e partie DeSalvo avoua également deux meurtres que ni la police ni les médias n?avaient attribué à l?Etrangleur.
Bientôt, le doute quant à sa culpabilité ne fut plus permis : il savait qu?il y avait un calepin sous le lit de Beverly Samans. Il savait que des petites cloches de Noël étaient attachées sur la porte de l?appartement de Patricia Bissette et que cette porte s?ouvrait vers l?extérieur. Il avait dessiné un plan exact et précis de son appartement (et des douze autres). Il décrivit correctement le n?ud particulier employé par l?Etrangleur. Il avait bien pris un imperméable chez Anna Slesers pour couvrir son t-shirt couvert de sang. Les enquêteurs apprirent qu?Anna Slesers avait acheté deux manteaux identiques et en avait donné un à une amie. Ils montrèrent ce dernier à DeSalvo, avec 14 autres imperméables, et il reconnut le bon. En fait, DeSalvo ne fit qu?une ou deux erreurs parmi les dizaines de détails précis qu?il donna.
Il décrivit également une agression envers une jeune femme blonde, à Boston, dans le quartier de Jamaïca-Plain, en mai 1962, avant le premier meurtre de l?Etrangleur. Il était parvenu à la convaincre de le laisser entrer dans son appartement, elle s?était retournée et il avait passé son bras autour de son cou, dans son dos, pour l?étrangler. Mais il avait soudainement vu son reflet dans un grand miroir pendu sur le mur. Se voyant en train de tuer, il avait été horrifié par lui-même. Il avait relâché la jeune femme et s?était mis à pleurer. Il lui avait présenté des excuses et l?avait supplié de ne pas appeler la police. Il avait menti en affirmant que si sa mère l?apprenait, elle ne lui donnerait plus d?argent et il ne pourrait pas continuer ses études. La jeune femme n?avait pas porté plainte. Grâce aux détails fournis par DeSalvo, DiNatale parvint pourtant à la retrouver : elle se souvenait de tout.
Finalement, les membres du «Bureau de l?Etrangleur» parvinrent à la même conclusion que F. Lee Bailey : DeSalvo était bien «l?Etrangleur de Boston».
Maintenant, il fallait décider de ce qu?il fallait faire de lui. En dépit de l?exactitude du récit de DeSalvo et de son désir d?avouer ses crimes, la police ne possédait aucune preuve directe contre lui. L?Etrangleur n?avait pas laissé d?empreinte et les analyses d?ADN n?existaient malheureusement pas encore à l?époque.
Bailey, Brooke et Bottomly parvinrent à s?accorder : DeSalvo risquait, de toutes manières, de passer le restant de ses jours en prison à cause de ses crimes en tant qu?«Homme en vert». S?il s?avérait que DeSalvo était déclaré apte à être jugé, il serait soumis à un examen psychiatrique afin de déterminer son état mental au moment des meurtres. Si DeSalvo était reconnu irresponsable, il ferait des aveux officiels, utilisables devant la cour mais plaiderait non coupable pour être placé dans un établissement psychiatrique. S?il était reconnu sain d?esprit, il n?y aurait pas d?aveux officiels et toutes les poursuites contre lui cesseraient. (à suivre...)


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