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Criminels de légende : Tueurs en série
Celui qui tue pour le frisson (1re partie)
Publié dans Info Soir le 16 - 06 - 2005

Biegenwald a eu une enfance catastrophique et a passé la plus grande partie de sa vie en prison. Il ne savait rien faire d'autre que voler et tuer. Travaillant dans un parc, lieu de rassemblement des jeunes en quête de sexe et de drogue, il assassina au moins quatre adolescentes brunes (peut être plus) et les enterra dans le jardin de sa mère. Mais il était aussi orgueilleux et vantard, et deux de ses «amis» le désignèrent à la police lorsqu'un corps fut découvert dans le parc. Né en 1940, à Charleston, Staten Island (New York), régulièrement battu par son père alcoolique, Richard Biegenwald mit le feu à la maison familiale à l'âge de cinq ans. Il fut placé en observation au centre psychiatrique du comté de Rockland, dans l'Etat de New York.
Durant le reste de son enfance, il fut ballotté d'hôpitaux psychiatriques en maisons de correction. A huit ans, il avait déjà un problème d'alcool et était un parieur compulsif. A neuf ans, il subit une thérapie expérimentale à base d'électrochocs à l'hôpital Bellevue de New York. On l'envoya à la State Training School for boys (une maison de correction) de Warwick, dans l'Etat de New York, où il fut accusé de vol et d'avoir incité ses camarades à s'évader. Lors d'une visite chez ses parents, il vola de l'argent à sa mère.
Enfin, à 11 ans, il tenta de se suicider en s'immolant par le feu.
Biegenwald réussit à terminer le collège avec plusieurs années de retard, mais ne passa que quelques semaines au lycée. Il partit pour Nashville, dans le Tennessee, où il vola une voiture et fut arrêté par le FBI pour avoir conduit un véhicule volé d'un Etat à un autre (c'est un crime fédéral). On l'envoya en maison de correction.
En 1958, à 18 ans, quelques mois après sa libération, il vola une autre voiture à Staten Island avec un ami pour se rendre au nord, plus précisément dans la ville de Bayonne, dans le New Jersey. Ils tentèrent de dévaliser une supérette et Biegenwald tua le propriétaire, Stephen Sladowski, qui était aussi assistant du procureur puis ils retournèrent dans le sud.
A Salisbury, dans le Maryland, il blessa un policier. Un peu plus tard, il tira sur des state-troopers (policiers des autoroutes) qui tentaient de l?arrêter pour excès de vitesse.
Reconnu coupable du meurtre de Sladowski, Biegenwald fut condamné à la prison à vie. Mais il fut libéré sur parole en 1975, après 17 années de prison. Une fois sorti, il vécut chez sa mère, mais son casier judiciaire ne lui permit de trouver que de «petits boulots». Malgré ses cicatrices au visage, Biegenwald parvint à séduire la fille des voisins, une adolescente de 16 ans. Elle était de bonne famille, intelligente, belle... et aurait pu être sa fille.
En 1977, il cessa de se présenter à son «surveillant» de liberté conditionnelle et le système sembla tout simplement l'oublier... Il fut arrêté à Brooklyn en juin 1980 pour viol, et épousa sa petite amie en prison. Bien que la jeune femme violée ne le reconnût pas lors de la confrontation, Biegenwald fut emprisonné durant six mois lorsque les autorités réalisèrent qu'il avait violé sa liberté conditionnelle. (à suivre...)


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