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Cela s?est passe un jour : Aventures, drames et passions celebres
Vlad Tepes ou la véritable histoire de Dracula (9e partie)
Publié dans Info Soir le 01 - 05 - 2006

Résumé de la 8e partie n Si Dracula a eu la réputation d?un monstre, c?est parce qu?il a été un souverain cruel, aussi bien avec ses ennemis qu?avec ses propres sujets.
Dans Dracula, Bram Stoker a dû exploiter des traditions du pays des Carpates, mais aussi d?autres pays relatives au mort-vivant. Celui-ci, ne parvenant pas, à cause des crimes qu?il a commis, à trouver le repos, reprend vie chaque nuit et erre à la recherche du sang humain qui lui permet de survivre, du moins de garder le statut de ni mort ni vivant. Certains rites magico-religieux, comme la présentation de la croix (on voit là la récupération par l?Eglise de ce mythe), ou alors le transpercement du c?ur du vampire, permettent de le détruire.
En fait, la croyance aux vampires est très ancienne. On la retrouve chez les Egyptiens et les Grecs. Mais déjà un vase persan, remontant à plusieurs siècles avant J.-C., montre un homme en prise avec un monstre qui tente de lui sucer son sang.
L?une des premières histoires de vampire nous vient d?Egypte et date de 4000 ans avant J.-C. Le royaume des Pharaons était loin d?être entièrement civilisé et des pratiques barbares, comme le cannibalisme rituel, étaient courantes. Ces pratiquent offusquent la reine Akasha, épouse du prince de la province de Kemet, venue d?Uruk, de la lointaine Babylonie, région civilisée du Proche-Orient, qui va jusqu?à former une armée pour obliger les tribus qui s?adonnent à ces pratiques de les abandonner.
Les Babyloniens croyaient aux démons, parmi lesquels figurent les incubes, démons mâles qui viennent assaillir les femmes dans leurs couches, les violant et les vidant de leur substance, et les succubes, démons femelles qui, eux, s?attaquent aux hommes. Les Assyriens, qui ont dominé au Proche-Orient entre le XIIe et le Ve siècle avant J.-C., avaient aussi leurs démons. L?un d?eux, Akakarm, était vampire, vivant du sang de ses victimes.
Cette croyance est d?origine indo-européenne, les Assyriens appartenant à cette culture. Elle se retrouve dans la mythologie indienne et figure dans les védas, textes rédigés entre 1800 et 800 avant J.-C. On croyait à l?existence de toute une foule de démons et de génies qui hantent les lieux où se pratiquait la crémation, redonnant vie aux cadavres pour les dévorer de l?intérieur. Les âmes en peine des trépassés, les preta, sont une autre catégorie de monstres qui, à la nuit tombée, battent la campagne, à la recherche d?humains à vider de leur sang et à dévorer.
Du côté grec, Ulysse, dans L?Odyssée, boit du sang animal pour évoquer les esprits des héros disparus et pouvoir converser avec eux : le sang est comme l?intermédiaire qui permet d?établir le contact entre vivants et morts. Il faut citer aussi les lamies, issues de Lamia, la fille du roi Bélos, aimée par Zeus, le père des dieux. Mais Héra, l?épouse de Zeus, fait périr les enfants que Lamia a eus de Zeus. Lamia, folle de douleur, se met à jalouser les femmes qui ont des enfants et, pour venger les siens, se met à sucer le sang de tous les enfants qu?elle rencontre. Les lamies, dans la tradition grecque, étaient également des sortes de succubes, assaillant les adolescents dans leur sommeil, les vidant de leur virilité.
Chez les Grecs comme chez les Romains le culte de certaines divinités exigeait la consommation de sang humain. (à suivre...)


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