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Suspense
Le démon du passé (161e partie)
Publié dans Info Soir le 05 - 10 - 2006

Résumé de la 160e partie n Sam Kingsley pressent que Toby n'est pas étranger à l'assassinat de Catherine Graney. Pour sa part, Abigail est bouleversée quand elle apprend la nouvelle.
Au moment où ils entraient dans le parking privé, Abigail demanda tranquillement : «Qu'avez-vous fait la nuit dernière, Toby ? Vous avez joué au poker ou vous êtes sorti avec une fille ?
— J'ai vu la môme du Steakburger et j'ai passé la soirée avec elle. Pourquoi ? Vous me surveillez ? Vous voulez lui parler, Sénateur ?» Il avait pris un air offensé.
«Non, bien sûr que non. Vous avez le droit de voir votre petite serveuse à votre guise pendant vos moments de liberté ; j'espère que vous en avez profité.
— Oui. Je n'avais pas pris beaucoup de temps pour moi, ces derniers jours.
— Je sais. Je ne vous ai pas laissé une minute de libre.» Son ton était conciliant. «C'est seulement...
— Seulement quoi, Sénateur ?
— Rien… rien du tout.»
A 8 heures, on soumit Eleanor au détecteur de mensonges. Elle avait étonnamment bien dormi. Elle se souvint de sa première nuit en prison onze ans auparavant, lorsqu'elle s'était soudain mise à hurler. «Vous manifestiez une claustrophobie aiguë cette nuit-là», lui avait dit un psychiatre après sa dépression. Mais, à présent, elle ressentait une étrange paix à l'idée de ne plus avoir à fuir.
Père pouvait-il s'être attaqué à tous ces vieillards ? Eleanor se creusa la tête, cherchant à se rappeler un seul trait de son caractère qui ne fût pas de la douceur et du dévouement. Elle n'en trouva aucun.
«Par ici». La gardienne la conduisit dans une petite pièce près du bloc cellulaire. Le commissaire Barrot lisait le journal. Elle fut heureuse de le voir. Il ne la traiterait pas comme une menteuse. Il leva la tête et lui sourit.
Lorsqu'un autre homme entra dans la pièce et fixa les attaches du détecteur de mensonges, elle ne se mit pas à pleurer comme elle l'avait fait après son arrestation pour le vol des fonds électoraux. Elle s'assit sur la chaise, montra sa poupée et demanda d'un air un peu gêné s'ils ne voyaient pas d'inconvénient à ce qu'elle la gardât avec elle. Ils ne semblèrent pas trouver sa demande extravagante. Frank Crowley, cet homme bienveillant à l'air paternel qui était son avocat, entra. Hier, elle avait essayé de lui expliquer qu'elle avait à peine cinq cents dollars d'économies pour payer ses honoraires, mais il lui avait dit de ne pas se tourmenter pour cela.
«Eleanor, vous pouvez encore refuser de vous soumettre à ce test», lui disait-il maintenant, et elle répondit qu'elle n'y voyait pas d'inconvénient.
Pour commencer, l'homme qui administrait le test lui posa des questions simples, stupides même, sur son âge, son éducation, ses mets préférés. Puis il en vint à celles qu'Eleanor s'était préparée à entendre.
«Avez-vous jamais volé quelque chose ?
— Non.
— Pas même une toute petite chose, un crayon ou un bout de craie lorsque vous étiez petite ?» (à suivre...)


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