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Histoires vraies
La morte au collier de perles fines (4e partie)
Publié dans Info Soir le 22 - 10 - 2003

Résumé de la 3e partie L?inspecteur Narborough est un fin limier de Scotland Yard, c?est lui qui mène l?enquête. Il va faire une étonnante découverte.
Stilwell, le jardinier, un assassin ? Il est père de famille, habite un cottage non loin du château et chacun sait qu?il emprunte régulièrement le parc pour rentrer chez lui. Cela lui évite de contourner les murs pendant deux kilomètres. Et s?il tremblait après avoir découvert le cadavre, c?est pour une raison bien simple. En voulant cueillir une fleur dans le massif, il avait posé la main sur un ventre nu et glacé ! La peur l?avait retourné littéralement, et dans tous les sens du terme.
Ronald, lui, était au chevet de sa mère malade la semaine et le jour du crime. S?il détournait la tête, c?était par pure décence devant le corps d?une femme nue.
Enfin, Sir Marmaduke? Bien que son cas soit plus complexe, la vérité était également simple. Il éprouve l?horreur des cadavres ! Une horreur réelle et maladive venue de ses expériences de tranchées pendant la Première Guerre mondiale. Un homme a le droit d?être choqué, d?avoir des souvenirs atroces, et, duc ou pas, d?avoir la nausée. D?autre part, le vieux duc entretenait des relations secrètes avec une dame du pays, fort jeune et fort jolie. Et sa peur du cadavre était doublée par celle de découvrir en la morte sa passion cachée. Ce n?était pas le cas.
Donc, qui est Joan Woodhouse, la bibliothécaire étranglée par son collier de perles fines ?
Selon les responsables de la bibliothèque de Londres, une jeune femme remarquable, la dernière personne à se retrouver nue dans un parc et étranglée. Un esprit sérieux, tourné vers les études et, malgré le charme de son visage, passionnée par la lecture et non par la bagatelle. Mais il y a souvent loin de l?habit au moine. Et en perquisitionnant chez Joan, l?inspecteur Narborough fait une étrange découverte : soigneusement dissimulé dans la chambre à coucher, un petit carnet couvert de notes, au jour le jour, et couvert de rendez-vous, au jour le jour.
Et l?inspecteur relève dans ce carnet 150 noms différents. Des noms d?hommes, bien entendu. Assortis de réflexions diverses et ne laissant aucun doute sur les relations entre la pure bibliothécaire et les noms cités.
Plus énigmatiques encore sont les rendez-vous marqués de simples initiales ou de quelques points de suspension : A. L. , ou J. B. Et, très inquiétant, le dernier rendez-vous, à la date du 13 juillet : «Rencontré X?».
«X»? pas même d?initiales, et aucun commentaire. Et plus rien d?autre sur le carnet. Alors qu?il était tenu jusque-là quotidiennement. Plus rien entre le 13 juillet et le 9 août, date de la mort de Joan, découverte huit jours plus tard seulement.
L?inspecteur Narborough s?attaque tout d?abord aux noms cités en entier. Il vérifie ainsi plus de cent alibis. Et n?acquiert aucune certitude. L?heure de la mort ne peut être fixée précisément, à deux ou trois heures près. Les hommes interrogés ne sont pas facilement pris en défaut. D?ailleurs peuvent-ils l?être ?
Il s?agit là de personnes convenables, à qui Joan fit une fois ou deux la grâce de ses faveurs. Si correcte à la bibliothèque, si sérieuse, Joan vivait une double vie, et sa deuxième vie amoureuse ne manquait pas d?intérêt. (à suivre...)


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