Profitant des 48h de repos accordé par le staff technique des Verts aux joueurs, Riyad Mahrez s'est déplacé hier en début d'après-midi à Tlemcen, afin d'aller retrouver sa famille et le village natal de son défunt père. Le sociétaire de Leicester, avant de se rendre chez ses cousins, a fait une halte au centre-ville de Tlemcen où les autorités locales l'attendaient puisqu'ils lui ont réservé une belle surprise. A son arrivée à la mairie de la ville, le joueur a été reçu par le P/APC qui a tenu à l'honorer et le remercier pour sa contribution en sélection. Un geste qui a fait énormément plaisir à Mahrez qui ne s'y attendait pas. Des supporters sont venus l'accueillir L'information de l'arrivée de Riyad Mahrez à Tlemcen s'est propagée comme une traînée de poudre. Plusieurs dizaines de supporters des Verts se sont rendus au siège de la mairie pour être à l'accueil du joueur et lui faire part de leur joie de voir un joueur de la région réussir autant dans sa carrière professionnelle. Il s'est rendu à Beni Snous, le village de son paternel La cérémonie terminée, Riyad Mahrez et ses accompagnateurs ont quitté Tlemcen, direction le village de Beni Snous situé à 41 km au sud-ouest de la ville des Zianides. C'est dans ce village où est né et a grandi le papa du joueur, avant de rallier la France pour s'y installer. Ce n'est pas la première fois que Riyad s'y rend puisque lorsqu'il était petit, il allait assez souvent là-bas. Son arrivée a fait énormément plaisir aux villageois, mais surtout à sa grande famille qui était heureuse de le retrouver des années plus tard. «Je remercie tout le monde pour cette initiative» Fier et ému par cette initiative des autorités de Tlemcen, Riyad Mahrez dira : «Sincèrement, je ne m'attendais pas à ce geste. Je suis vraiment très content et fier. Je remercie tout le monde et je promets de tout faire pour continuer à honorer comme il se doit mon pays et bien représenter ma région. Aussi, j'ai été surpris par la présence des supporters qui se sont déplacés pour me rencontrer. Je les remercie eux aussi.»
