L'ancien membre du directoire, Malik Azlef, confirme qu'il a démissionné de son poste et qu'il devrait faire partie du Comité de surveillance : «C'est officiel, Madjène, Zouaoui et Aït Djoudi ont été installés à la tête du directoire. Leur projet est solide et convaincant. Désormais, c'est à eux de procéder à l'ouverture du capital. En ce qui me concerne, j'ai démissionné de mon poste et je ferai désormais partie du Comité de surveillance. Notre but sera d'évaluer le travail du nouveau trio.» Benabderahmane (ex-membre du directoire): «Le Comité de surveillance a approuvé le projet de Madjène » Pour sa part, Nassim Benabderahmane, désormais ex-membre du directoire de la JSK, a commenté l'installation du nouveau directoire en déclarant : «Les membres du Comité de surveillance ont pris connaissance du projet présenté par Madjène et son équipe et l'ont approuvé. J'ai toujours été au service de la JSK et je n'ai jamais ménagé aucun effort pour aider le club. J'espère que la JSK retrouvera très bientôt sa santé et reviendra à la place qui lui sied. Je souhaite bonne chance à la nouvelle équipe dirigeante. Tous les supporters doivent se mobiliser derrière le club pour lui permettre d'aller de l'avant.»
Chioukh Khelifa (membre du Comité de surveillance) : «Madjène et son équipe ont ramené un projet, on ne pouvait pas leur dire non» Contacté par nos soins dans la soirée d'hier, Khelifa Chioukh, membre du Comité de surveillance a souligné : «Madjène et son équipe ont ramené un projet qu'ils ont présenté devant l'ensemble des membres du Comité de surveillance. C'est un projet ambitieux qui comporte plusieurs volets, finances, techniques et nouvelles réalisations pour le club. On a écouté attentivement le projet et les garanties de la nouvelle équipe dirigeante qui s'engage à le concrétiser sur le terrain. Nous en tant que membres du Comié de surveillance sommes très intéressés et nous avons placé toute notre confiance dans le nouveau directoire. Notre objectif est de voir la JSK entre de bonnes mains et que le club retrouve ses beaux jours.» L. A.
