Deux pistes en cas de départ de Mourinho. Cristiano Ronaldo a accordé une longue interview à la chaîne portugaise TVI au cours de laquelle il a balayé plusieurs sujets. Et comme un symbole, il a adoubé un José Mourinho, apparemment contesté par une partie du vestiaire et remis en cause par les médias ibériques. «C'est le meilleur. Je crois que les titres parlent d'eux-mêmes. Tout grand entraîneur doit triompher dans des championnats différents et il l'a fait. Bien d'autres sont considérés comme les meilleurs alors qu'ils n'ont pas réussi la même chose. Je ne suis pas d'accord. D'ailleurs, c'est la même chose pour les joueurs», a-t-il lâché avant de s'attarder sur leur relation. «Avant de le connaître comme entraîneur, je savais que nous nous entendrions bien parce qu'il a les mêmes principes que moi», a-t-il confié. Cristiano Ronaldo a parfois l'image d'une diva vivant sur sa planète, mais cela ne colle que rarement avec les faits. A chaque fois qu'il en a l'occasion, la star du Real Madrid rappelle d'où il vient et remercie encore et toujours ceux qui ont fait de lui l'artificier en chef qu'il est devenu. En plus de Mourinho, CR7 a évoqué un entraîneur qui a beaucoup compté pour lui, Sir Alex Ferguson, l'emblématique manager de Manchester United. «Il m'a donné ma chance, une éducation footballistique, mentale et psychologique pour résister à la pression à 18 ans. Je lui suis très reconnaissant», a confié Cristiano Ronaldo, qui a évolué sous les ordres de l'entraîneur écossais entre 2003 et 2009, quittant les Red Devils pour le Real Madrid moyennant 94ME, le transfert le plus coûteux de toute l'histoire du football jusqu'à aujourd'hui. Deux pistes en cas de départ de Mourinho Alors que les rumeurs vont bon train concernant l'avenir de José Mourinho, annoncé récemment en partance pour Manchester City, la presse espagnole n'a pas perdu de temps pour dresser une liste de ses successeurs potentiels à la tête du Real Madrid. Une liste qui se réduit en fait à deux noms : Joachim Löw et Rafael Benitez. L'Allemand plaît beaucoup à Florentino Pérez mais rien ne dit qu'il renoncera à son poste de sélectionneur de la Mannschaft après l'Euro en Ukraine et en Pologne. Bénitez, est lui, «l'option espagnole» d'après El Mundo Deportivo, et même s'il rêve de Premier League, il est évident qu'un appel du Real Madrid ne le laisserait pas indifférent.
