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USM Blida : Pour quelle sortie de crise ?
Publié dans Le Buteur le 29 - 07 - 2012


Quand les industriels se tirent dans les pattes
Si rien n'est fait d'ici le 1er août, le club de Blida risque déposer son bilan. Des repreneurs doivent, pour éviter cela, se manifester dans les plus brefs délais. S'ils se manifestent en injectant des sommes conséquentes, il est parfaitement envisageable que l'USMB reprenne ses activités et se prépare, à l'instar des autres formations de L2, pour la saison prochaine. La première possibilité de sortie de crise est que des investisseurs se mettent d'accord avec l'actuel conseil d'administration pour la reprise des affaires de la SSPA. La société, dans ce cas-là, changerait de propriétaire et le club reprendra comme si de rien n'était.
Quand les industriels se tirent dans les pattes
La deuxième possibilité est qu'aucun investisseur ne soit intéressé. C'est manifestement le cas actuellement. Après que le principal actionnaire du club a décidé de se retirer et de céder gratuitement ses actions, aucun repreneur potentiel ne s'est manifesté.
Blida ? Le dernier de leurs soucis !
Ceci fait que le grand club de Blida est au bord du précipice. Le mot n'est pas assez fort. Il est certain que le club de Blida traverse l'une des crises les plus graves de son histoire.
Il y a bien eu, il y a quelques jours de cela, un repreneur qui a annoncé qu'il était intéressé par la prise en main de l'USMB et surtout injecter une grosse somme d'argent pour relancer l'équipe. Ce dernier n'a plus donné signe de vie, il a seulement profité de ce qu'il soit sous les feux de la rampe pour tirer à boulets rouges sur les autres industriels de la région. Ces derniers répondront présent à un dîner organisé par le wali, uniquement pour répliquer et régler des vieux comptes personnels. Le sort de l'USMB étant loin, très loin de leurs préoccupations.
Le dépôt de bilan inéluctable
Maintenant, si les choses restent en état, on se dirige tout droit vers la faillite. Dans un premier temps, celle-ci prendrait la forme en une rétrogradation en Division nationale amateur. On évoque du côté de la ville des Roses, plusieurs pistes de repreneurs potentiels. Si celles-ci n'aboutissent pas, une décision de justice sera prise après le dépôt de bilan qui pourrait être effectué par l'actuelle direction du club. Sans autre forme de procès, on pourra prononcer la faillite pour cause d'abandon d'actifs.
Ah ces vrai-faux repreneurs !
Après la mauvaise farce du pseudo-milliardaire qui, à des fins électoralistes, a promis monts et merveilles avant de disparaître dans la nature, aucun repreneur sérieux n'a pointé le bout du nez. Si, il y en a eu un qui s'est même payé le luxe de dîner à côté du wali, quand ce dernier multipliait les initiatives. On sait aujourd'hui qu'il n'a ni entreprises ni bas de laine. Selon ses voisins, il doit même de l'argent à ses parents ! Un autre industriel se déclarait prêt à renflouer l'USMB de quinze milliards de centimes. Divine nouvelle ! D'autant que l'officialisation du plan de sauvetage, abondamment relayée par les journaux, intervenait à la veille des élections législatives. Coïncidence ? Cette mise en scène n'a répondu qu'à un simple calcul politique.
Toutes les opportunités sont bonnes pour sauver le club
Si les industriels de la région de Blida font de l'avenir de l'USMB le dernier de leur souci, il n'en est pas de même pour cet ancien dirigeant. Ce dernier remue ciel et terre depuis quelques jours pour trouver un ou des repreneurs après le retrait de Zaïm et cela devant le silence des investisseurs. «Toutes les opportunités sont bonnes pour sauver le club», confirme-t-il. «Aujourd'hui, nous recherchons aussi bien des fonds que des investisseurs et des repreneurs. Cette situation ne peut plus durer car l'USMB est vraiment en danger.»
Des garanties financières au plus vite !
Cette situation intervient au moment où le club blidéen doit faire face à des échéances capitales quant à son avenir. Et notamment le dépôt de garanties financières auprès de la FAF en ce qui concerne les frais d'engagement pour la saison 2012-2013. Au vu du naufrage annoncé, il n'est pas impossible malgré tout que des repreneurs se présentent au portillon. Des contacts existent entre le club et des entrepreneurs ayant pignon sur rue du côté de la zone industrielle de Blida.
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Zéro centime de dette
Il est intéressant de connaître avec exactitude l'endettement du club blidéen. Il ne faut pas chercher trop loin, la réponse a été donnée par Zaïm lors d'u dîner organisé par le wali. Le responsable du club brandira un extrait de rôle qui atteste que le club ne souffre d'aucune dette. Malgré cela, il n'y a aucune porte de sortie de crise, pour le moment.


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