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Obama veut réduire le déficit public américain
Etats-Unis
Publié dans Le Maghreb le 23 - 02 - 2009


Le président américain Barack Obama souhaite réduire de plus de moitié le déficit public d'ici 2013, après avoir adopté un plan de relance incluant des dépenses massives pour tenter de sortir de la crise économique et financière, rapportent des responsables. Barack Obama devrait dévoiler officiellement ses objectifs lors d'un sommet sur la responsabilité fiscale, aujourd'hui, à la Maison blanche puis lors de la présentation du premier budget de son administration, jeudi. Alors que des dizaines de milliers d'Américains perdent leur emploi chaque semaine, le président américain a déclaré que la stabilisation de l'économie constituait sa priorité et a reconnu qu'il serait jugé sur ce critère à la fin de son mandat. "Nous ne pouvons pas avoir une croissance solide sans contrôler nos déficits", a-t-il dit samedi dans son allocution radiophonique hebdomadaire. Il a en outre annoncé la mise en oeuvre immédiate de réductions d'impôts qui concerneront 95% des Américains afin de relancer la consommation. "Jeudi, je présenterai un budget sérieux dans son estimation, honnête dans sa comptabilité et dévoilerai ma stratégie pour investir dans ce dont nous avons besoin, supprimer ce dont nous n'avons pas besoin et restaurer la discipline fiscale", a-t-il ajouté. Un responsable de l'administration a expliqué qu'Obama comptait sur des augmentations d'impôts et des réductions de dépenses publiques pour résorber en partie le déficit qui devrait atteindre 1.500 milliards de dollars d'ici la fin de l'année selon des économistes. "Le déficit dont l'actuelle administration a hérité s'élevait à 1.300 milliards de dollars, soit 9,2% du PIB. D'ici à 2013, qui marque la fin du premier mandat du président, le budget réduit le déficit à 533 milliards de dollars", a dit ce responsable. "L'essentiel des économies résultera de l'arrêt progressif de la guerre en Irak, d'une hausse de revenus provenant de ceux qui gagnent plus de 250.000 dollars par an et d'économies réalisées grâce à un fonctionnement plus efficace du gouvernement et à l'élimination de programmes qui ne marchent pas", a-t-il ajouté. Les Etats-Unis ont dépensé quelque 190 milliards de dollars en 2008 pour les guerres en Irak et en Afghanistan. Depuis qu'il a pris ses fonctions le 20 janvier, le nouveau président américain tente de rassurer la population sur la vigueur et la rapidité de la réponse gouvernementale à la crise et intervient quasi quotidiennement sur le sujet. Ses premières mesures ont été accueillie avec prudence par les marchés financiers qui n'ont pas la certitude de voir l'administration Obama interrompre la spirale négative. Selon un second responsable de l'équipe Obama, le président envisage d'augmenter d'ici à 2013 les impôts pour porter leur taux de 16% à 19% de l'activité économique et de faire passer les dépenses publiques fédérales de 26% à 22%. Obama devrait en outre laisser le programme de réductions d'impôts de l'administration Bush pour les Américains gagnant plus de 250.000 dollars par an aller à son terme, en 2010. Lundi à la Maison blanche, il s'entretiendra avec des universitaires, des parlementaires, des dirigeants syndicaux et d'entreprises des moyens de réduire le déficit. La commission bipartisane du budget au Congrès avait tablé début janvier sur un déficit de 1.200 milliards de dollars d'ici le 30 septembre, fin de l'année fiscale 2009. Mais cette estimation ne prenait pas en compte le plan de relance de l'économie de 787 milliards adopté depuis et composé de réductions d'impôts et de dépenses étalées sur deux ans. R.T

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