En collaboration avec la Direction de la formation professionnelle, l'antenne de Tizi-Ouzou de l'Agence nationale de l'emploi (ANEM) vient de lancer une formation au profit de jeunes sans niveau âgés entre 16 et 20 ans. Dans un premier temps, 139 jeunes sont appelés à suivre ce type de formation d'une durée de six mois au niveau des CFPA en vue d'apprendre les rudiments d'un métier qui leur facilitera l'insertion sociale, a indiqué le directeur de cette structure qui a fait état de l'attribution pour ces stagiaires d'une bourse de 3.000 DA/mois. S'exprimant en marge des journées portes ouvertes sur l'emploi des jeunes, organisées à la maison de la culture, le directeur général de l'ANSEJ a relevé le "désintérêt manifesté par les jeunes à l'endroit des métiers manuels", en notant la tendance des postulants à une formation "dans des créneaux déjà saturés". Il a exhorté, à cette occasion, le mouvement associatif à s'investir dans le travail de sensibilisation pour remédier à cette situation en vue de réhabiliter les métiers manuels. Dans son intervention, un enseignant universitaire, membre de la coordination locale de soutien au programme du président de la République, a estimé, pour sa part, que "le nombre de chômeurs au niveau de la wilaya varie entre 50 et 90 mille". Il a fait également savoir que "plus de 12 mille jeunes formés par l'université et les CFPA arrivent annuellement sur le marché local du travail". L. S. En collaboration avec la Direction de la formation professionnelle, l'antenne de Tizi-Ouzou de l'Agence nationale de l'emploi (ANEM) vient de lancer une formation au profit de jeunes sans niveau âgés entre 16 et 20 ans. Dans un premier temps, 139 jeunes sont appelés à suivre ce type de formation d'une durée de six mois au niveau des CFPA en vue d'apprendre les rudiments d'un métier qui leur facilitera l'insertion sociale, a indiqué le directeur de cette structure qui a fait état de l'attribution pour ces stagiaires d'une bourse de 3.000 DA/mois. S'exprimant en marge des journées portes ouvertes sur l'emploi des jeunes, organisées à la maison de la culture, le directeur général de l'ANSEJ a relevé le "désintérêt manifesté par les jeunes à l'endroit des métiers manuels", en notant la tendance des postulants à une formation "dans des créneaux déjà saturés". Il a exhorté, à cette occasion, le mouvement associatif à s'investir dans le travail de sensibilisation pour remédier à cette situation en vue de réhabiliter les métiers manuels. Dans son intervention, un enseignant universitaire, membre de la coordination locale de soutien au programme du président de la République, a estimé, pour sa part, que "le nombre de chômeurs au niveau de la wilaya varie entre 50 et 90 mille". Il a fait également savoir que "plus de 12 mille jeunes formés par l'université et les CFPA arrivent annuellement sur le marché local du travail". L. S.
