Une cité livrée sans commodités essentielles ! Cela peu paraître incongru... pourtant c'est la triste réalité au sein de la cité 180-Logements CNEP à Bab Ezzouar où les résidants ne cessent, depuis leur occupation des lieux, d'interpeller les autorités locales pour la mise en place de bacs à ordures. En l'absence de ces bacs, ô combien indispensables, l'insalubrité a droit de cité et la situation est véritablemant inquiétante au sein de ce quartier. Une solution doit y être apportée au plus vite afin d'éviter les fléaux qui peuvent être générés par la saleté ambiante. Ce problème majeur, qui gangrène leur quotidien, est dénoncé haut et fort par les habitants qui s'étonnent que la simple installation de bacs à ordures puisse constituer un casse-tête pour les autorités communales qui persistent à faire la sourde oreille. L'absence de cette commodité promordiale a mené, selon eux, à la prolifération des décharges sauvages à travers tout le quartier. En plus du danger des maladies et l'avénement de parasites et autres rongeurs, les habitants déplorent le fait que les agents de NetCom éprouvent les pires difficultés à effectuer correctement leur travail, les ordures ménagères étant disséminées un peu partout à travers le quartier rendant leur tâche pratiquement impossible. Des actions de bénévolat sont certes initiées périodiquement par les citoyens soucieux de la santé de leurs familles, mais en l'absence de suivi l'insalubrité revient aussitôt au triple galop. Au moment où des campagnes sont menées, tambour battant, partout à travers la capitale prônant la préservation de l'environnement et le combat contre l'insalubrité envahissante, un geste est attendu et espéré de la part des responsables locaux pour remédier à cette situation. De simples bacs pour réinstaurer la salubrité et faciliter la tâche des employés de NetCom, cela ne devrait pas être une mission trop ardue pour les élus de la commune de Bab Ezzouar, la balle est donc dans leur camp. Y. B. Une cité livrée sans commodités essentielles ! Cela peu paraître incongru... pourtant c'est la triste réalité au sein de la cité 180-Logements CNEP à Bab Ezzouar où les résidants ne cessent, depuis leur occupation des lieux, d'interpeller les autorités locales pour la mise en place de bacs à ordures. En l'absence de ces bacs, ô combien indispensables, l'insalubrité a droit de cité et la situation est véritablemant inquiétante au sein de ce quartier. Une solution doit y être apportée au plus vite afin d'éviter les fléaux qui peuvent être générés par la saleté ambiante. Ce problème majeur, qui gangrène leur quotidien, est dénoncé haut et fort par les habitants qui s'étonnent que la simple installation de bacs à ordures puisse constituer un casse-tête pour les autorités communales qui persistent à faire la sourde oreille. L'absence de cette commodité promordiale a mené, selon eux, à la prolifération des décharges sauvages à travers tout le quartier. En plus du danger des maladies et l'avénement de parasites et autres rongeurs, les habitants déplorent le fait que les agents de NetCom éprouvent les pires difficultés à effectuer correctement leur travail, les ordures ménagères étant disséminées un peu partout à travers le quartier rendant leur tâche pratiquement impossible. Des actions de bénévolat sont certes initiées périodiquement par les citoyens soucieux de la santé de leurs familles, mais en l'absence de suivi l'insalubrité revient aussitôt au triple galop. Au moment où des campagnes sont menées, tambour battant, partout à travers la capitale prônant la préservation de l'environnement et le combat contre l'insalubrité envahissante, un geste est attendu et espéré de la part des responsables locaux pour remédier à cette situation. De simples bacs pour réinstaurer la salubrité et faciliter la tâche des employés de NetCom, cela ne devrait pas être une mission trop ardue pour les élus de la commune de Bab Ezzouar, la balle est donc dans leur camp. Y. B.
