L'implantation d'un pôle industriel dans la région aura pour impact aussi la mise en branle de la locomotive de développement tous azimuts. Les habitants de la région sont restés, cette fois-ci, peu bavards après l'annonce de cette information, passée presque inaperçue. Les «espoirs déçus» de la population n'ont pas fait réagir cette dernière qui s'est montrée plutôt sceptique cette fois-ci. L'implantation d'un pôle industriel dans la région aura pour impact aussi la mise en branle de la locomotive de développement tous azimuts. Les habitants de la région sont restés, cette fois-ci, peu bavards après l'annonce de cette information, passée presque inaperçue. Les «espoirs déçus» de la population n'ont pas fait réagir cette dernière qui s'est montrée plutôt sceptique cette fois-ci. Le dossier de la zone industrielle intégrée de Bellara, dans la commune d'El-Milia, refait surface ces jours-ci à la faveur de la dernière sortie de l'ex-ministre de l'Industrie et de la Promotion des investissements, Abdelhamid Temmar, qui a déclaré, jeudi à l'APN, que trois offres sont en cours d'étude pour la réalisation d'un complexe sidérurgique dans la région. Parmi les investisseurs intéressés, il citera le Japonais Mitsui, l'Indien Arcellor Mittal et le groupe algérien Cevital. Evidemment, une telle annonce remet les pendules à l'heure au sujet du dossier de l'investissement dans la wilaya qui peine à trouver ses marques et reste à la traîne. Au regard des intentions des pouvoirs publics, ce sont des investissements prometteurs qui auront des effets socio-économiques sur l'ensemble de la région et ce, par la dynamisation du secteur du marché de l'emploi et les secteurs tertiaires. Parmi les autres retombées attendues d'un tel projet, la rentabilisation des infrastructures techniques existantes telles que le port, la voie ferrée et l'aéroport entre autres. L'implantation d'un pôle industriel dans la région aura pour impact aussi la mise en branle de la locomotive de développement tous azimuts. Mais avant d'en arriver là, il faut dire que les habitants de la région sont restés, cette fois-ci, peu bavards après l'annonce de cette information, passée presque inaperçue. Les «espoirs déçus» de la population n'ont pas fait réagir cette dernière qui s'est montrée plutôt sceptique cette fois-ci. Il est tout à fait normal que les chômeurs de la région perdent espoir lorsqu'on sait que les choses concrètes tardent à voir le jour dans ce dossier d'investissement. Et pour preuve, des groupes mondiaux ont annoncé maintes fois leur intention de s'installer à Bellara, mais en vain. On citera principalement l'Italien AFV Beltrame, l'Egyptien El-Ezz Steel industrie, le géant mondial de l'acier, Arcelor Mittal, en plus d'un groupe d'industrie spécialisé dans l'aluminium de Dubaï. Tous ces investisseurs et bien d'autres se sont rendus dans la région et ont laissé entendre qu'ils allaient s'installer à Bellara une fois leurs dossiers approuvés par les autorités centrales en charge du dossier de l'investissement. Mais une fois repartis, leurs projets tombent dans l'oubli, sans que l'on sache les raisons des ces blocages à répétition. Comme gage de bonne volonté de voir ces projets se matérialiser sur le terrain, les autorités locales ont lancé une étude d'impact sur l'environnement il y a deux années de cela. En attendant la concrétisation, un jour, de ces bonnes intentions, on retiendra qu'une étude d'aménagement de la zone industrielle de Bellara, confiée au bureau d'étude CNERU, a été réalisée, donnant lieu à la division du site en trois zones. La première zone est affectée aux activités industrielles avec une superficie de 231,5 ha, la deuxième zone est destinée aux équipements d'accompagnements sur une surface foncière de 40,10 ha, quant aux équipements de soutien, ils occuperont la troisième zone sur une superficie 28,8 ha. Le dossier de la zone industrielle intégrée de Bellara, dans la commune d'El-Milia, refait surface ces jours-ci à la faveur de la dernière sortie de l'ex-ministre de l'Industrie et de la Promotion des investissements, Abdelhamid Temmar, qui a déclaré, jeudi à l'APN, que trois offres sont en cours d'étude pour la réalisation d'un complexe sidérurgique dans la région. Parmi les investisseurs intéressés, il citera le Japonais Mitsui, l'Indien Arcellor Mittal et le groupe algérien Cevital. Evidemment, une telle annonce remet les pendules à l'heure au sujet du dossier de l'investissement dans la wilaya qui peine à trouver ses marques et reste à la traîne. Au regard des intentions des pouvoirs publics, ce sont des investissements prometteurs qui auront des effets socio-économiques sur l'ensemble de la région et ce, par la dynamisation du secteur du marché de l'emploi et les secteurs tertiaires. Parmi les autres retombées attendues d'un tel projet, la rentabilisation des infrastructures techniques existantes telles que le port, la voie ferrée et l'aéroport entre autres. L'implantation d'un pôle industriel dans la région aura pour impact aussi la mise en branle de la locomotive de développement tous azimuts. Mais avant d'en arriver là, il faut dire que les habitants de la région sont restés, cette fois-ci, peu bavards après l'annonce de cette information, passée presque inaperçue. Les «espoirs déçus» de la population n'ont pas fait réagir cette dernière qui s'est montrée plutôt sceptique cette fois-ci. Il est tout à fait normal que les chômeurs de la région perdent espoir lorsqu'on sait que les choses concrètes tardent à voir le jour dans ce dossier d'investissement. Et pour preuve, des groupes mondiaux ont annoncé maintes fois leur intention de s'installer à Bellara, mais en vain. On citera principalement l'Italien AFV Beltrame, l'Egyptien El-Ezz Steel industrie, le géant mondial de l'acier, Arcelor Mittal, en plus d'un groupe d'industrie spécialisé dans l'aluminium de Dubaï. Tous ces investisseurs et bien d'autres se sont rendus dans la région et ont laissé entendre qu'ils allaient s'installer à Bellara une fois leurs dossiers approuvés par les autorités centrales en charge du dossier de l'investissement. Mais une fois repartis, leurs projets tombent dans l'oubli, sans que l'on sache les raisons des ces blocages à répétition. Comme gage de bonne volonté de voir ces projets se matérialiser sur le terrain, les autorités locales ont lancé une étude d'impact sur l'environnement il y a deux années de cela. En attendant la concrétisation, un jour, de ces bonnes intentions, on retiendra qu'une étude d'aménagement de la zone industrielle de Bellara, confiée au bureau d'étude CNERU, a été réalisée, donnant lieu à la division du site en trois zones. La première zone est affectée aux activités industrielles avec une superficie de 231,5 ha, la deuxième zone est destinée aux équipements d'accompagnements sur une surface foncière de 40,10 ha, quant aux équipements de soutien, ils occuperont la troisième zone sur une superficie 28,8 ha.
