Les habitants de la cité Les Palmiers, située dans la commune de Bachdjarah, attendent avec impatience la concrétisation des promesses faites par l'exécutif local et portant sur leur relogement au cours du mois de juillet au plus tard. Pour rappel cette cité a été classée comme étant "habitat précaire" par les services communaux ainsi que par les services de la wilaya d'Alger. La cité tombe en effet littéralement en ruine accentuant l'angoisse et l'appréhension des familles qui attendent avec impatience de voir les décisions de relogement enfin arriver. Les responsables de la commune avaient en fait, dans un proche passé, rassuré les familles en leur fixant la date du mois de juillet prochain pour leur relogement, à l'instar d'ailleurs de milliers d'Algérois résidant sur des sites précaires ou des bidonvilles. Beaucoup de ces familles ont été relogées depuis ou sont en passe de l'être du moins affirme-t-on avant le mois d'octoble de l'année en cours. Il faut admettre que la précarité sur ces sites a atteint des seuils intolérables et le quotidien des citoyens s'est transformé en véritable calvaire. L'état lamentable des routes et trottoirs n'est pas fait pour arranger les choses et contribue un peu plus à l'isolement de ces sites. C. K. Les habitants de la cité Les Palmiers, située dans la commune de Bachdjarah, attendent avec impatience la concrétisation des promesses faites par l'exécutif local et portant sur leur relogement au cours du mois de juillet au plus tard. Pour rappel cette cité a été classée comme étant "habitat précaire" par les services communaux ainsi que par les services de la wilaya d'Alger. La cité tombe en effet littéralement en ruine accentuant l'angoisse et l'appréhension des familles qui attendent avec impatience de voir les décisions de relogement enfin arriver. Les responsables de la commune avaient en fait, dans un proche passé, rassuré les familles en leur fixant la date du mois de juillet prochain pour leur relogement, à l'instar d'ailleurs de milliers d'Algérois résidant sur des sites précaires ou des bidonvilles. Beaucoup de ces familles ont été relogées depuis ou sont en passe de l'être du moins affirme-t-on avant le mois d'octoble de l'année en cours. Il faut admettre que la précarité sur ces sites a atteint des seuils intolérables et le quotidien des citoyens s'est transformé en véritable calvaire. L'état lamentable des routes et trottoirs n'est pas fait pour arranger les choses et contribue un peu plus à l'isolement de ces sites. C. K.
