L'acquisition au profit de la coopérative de céréales et de légumes secs (CCLS) de ce nouveau matériel s'inscrit dans le cadre de la révision du parc de moissonneuses-batteuses qui compte actuellement à l'échelle nationale au moins 8.500 machines dont 90 % dépassent les 20 ans d'âge. L'acquisition au profit de la coopérative de céréales et de légumes secs (CCLS) de ce nouveau matériel s'inscrit dans le cadre de la révision du parc de moissonneuses-batteuses qui compte actuellement à l'échelle nationale au moins 8.500 machines dont 90 % dépassent les 20 ans d'âge. La mise en service de moissonneuses-batteuses neuves à Constantine permettra aux agriculteurs "d'éviter les pertes considérables d'épis de blé affectant les niveaux de récoltes", a souligné mercredi dernier le directeur régional de l'Institut technique des grandes cultures (ITGC). Selon M. Mohammed El Hadi Sakhri, qui supervisait l'opération de la mise en activité d'une de ces moissonneuses-batteuses nouvellement acquises, "les pertes à la récolte endossées par les agriculteurs lors de chaque campagne moisson-battages sont estimées à plus de 20% de la récolte attendue". L'acquisition au profit de la coopérative de céréales et de légumes secs (CCLS) de ce nouveau matériel s'inscrit dans le cadre de la révision du parc de moissonneuses-batteuses qui compte actuellement à l'échelle nationale au moins 8.500 machines dont 90 % dépassent les 20 ans d'âge, a-t-on précisé. La mise à la disposition des agriculteurs de ces nouvelles machines "devra contribuer à améliorer de manière sensible la récolte céréalière", a fait savoir M. Sakhri, précisant que le volet logistique et matériels bénéficie d'une attention particulière de la part des responsables centraux de l'agriculture. Au total, 300 moissonneuses-batteuses viennent d'être attribuées aux 43 CCLS existant à travers le territoire national, a-t-on affirmé, soulignant que la répartition de ce lot important de machines se fera en fonction des besoins et des capacités agricoles de chaque région. Dans ce contexte, le directeur régional de l'ITGC a souligné que la mise en fonction de ces moissonneuses-batteuses permettra aux agents techniques de cet institut régional de développer leurs recherches basées essentiellement, a-t-il dit, sur les techniques à mettre en œuvre pour assurer une meilleure émergence du "concept management qualité des semences". Les premiers essais relatifs au fonctionnement d'une de ces moissonneuses-batteuses, fabriquées en Italie, ont eu lieu sur les parcelles de l'ITGC situé dans la région d'El Baâraouia (El Khroub) en présence de représentants des autorités locales, des responsables de la Chambre de l'agriculture et d'agriculteurs. APS La mise en service de moissonneuses-batteuses neuves à Constantine permettra aux agriculteurs "d'éviter les pertes considérables d'épis de blé affectant les niveaux de récoltes", a souligné mercredi dernier le directeur régional de l'Institut technique des grandes cultures (ITGC). Selon M. Mohammed El Hadi Sakhri, qui supervisait l'opération de la mise en activité d'une de ces moissonneuses-batteuses nouvellement acquises, "les pertes à la récolte endossées par les agriculteurs lors de chaque campagne moisson-battages sont estimées à plus de 20% de la récolte attendue". L'acquisition au profit de la coopérative de céréales et de légumes secs (CCLS) de ce nouveau matériel s'inscrit dans le cadre de la révision du parc de moissonneuses-batteuses qui compte actuellement à l'échelle nationale au moins 8.500 machines dont 90 % dépassent les 20 ans d'âge, a-t-on précisé. La mise à la disposition des agriculteurs de ces nouvelles machines "devra contribuer à améliorer de manière sensible la récolte céréalière", a fait savoir M. Sakhri, précisant que le volet logistique et matériels bénéficie d'une attention particulière de la part des responsables centraux de l'agriculture. Au total, 300 moissonneuses-batteuses viennent d'être attribuées aux 43 CCLS existant à travers le territoire national, a-t-on affirmé, soulignant que la répartition de ce lot important de machines se fera en fonction des besoins et des capacités agricoles de chaque région. Dans ce contexte, le directeur régional de l'ITGC a souligné que la mise en fonction de ces moissonneuses-batteuses permettra aux agents techniques de cet institut régional de développer leurs recherches basées essentiellement, a-t-il dit, sur les techniques à mettre en œuvre pour assurer une meilleure émergence du "concept management qualité des semences". Les premiers essais relatifs au fonctionnement d'une de ces moissonneuses-batteuses, fabriquées en Italie, ont eu lieu sur les parcelles de l'ITGC situé dans la région d'El Baâraouia (El Khroub) en présence de représentants des autorités locales, des responsables de la Chambre de l'agriculture et d'agriculteurs. APS
